Londres 1910. Amédée Ripois, Français exilé, sillonne rues et parcs à l’affût d’aventures féminines qui meubleront son existence terne. Beau garçon, cuirassé de cynisme, ce dérisoire flibustier des coeurs se croit maître d’un jeu qui le dépasse pourtant: dans le grouillement interlope de la ville, le spectre de la faim rôde, et Némésis, divinité vengeresse, attend son heure.
En dépit d’un héros antipathique, à l’humanité trop tard éveillée, le roman laisse transparaître les désarrois du jeune Louis Hémon venu à Londres pour s’essayer à la vie et à la littérature, avant son nouvel exil au Canada et sa mort accidentelle. L’oeuvre dut attendre 1950, longtemps après le triomphe posthume de Maria Chapdelaine, pour être publiée, saluée par la critique pour son âpreté teintée d’humour, puis adaptée au cinéma, offrant à Gérard Philipe l’un de ses rôles majeurs.
Pour avoir vécu au Québec et s’en être inspiré dans Maria Chapdelaine, Louis Hémon n’en est pas moins un écrivain français, natif de Bretagne.
Carte postale, Hippodrome at Night, London (wikimedia commons).
Scott Joplin, “Solace“, interprété par Constantin Stephan.
Dites, monsieur Mora, les fans de Maria Chapdelaine ont dû avoir un coup de sang en se trouvant devant l’horrible Ripois! Je le trouvais tellement odieux que j’ai failli arrêter l’écoute. Il est vrai que les manoeuvres cyniques du dit sire sont décrites avec une telle précision qu’elles peuvent rappeler de mauvais souvenirs à certaines… Mais foin de sensiblerie, j’ai continué, j’en suis à madame Marcelle et même sans aborder encore la némésis j’apprécie beaucoup l’oeuvre. Il y a une habile double écriture que votre diction fait discrètement percevoir entre la vision du personnage et celle de l’auteur. Winifred a ‘un regard d’enfant’, Mabel ‘un coeur droit et pur’, Marcelle endure stoïquement son horrible travail. Aucune misogynie chez l’auteur.
Et je voudrais rectifier la comparaison avec Bel Ami : Certes les deux personnages vivent des femmes et n’ont aucuns scrupules mais Bel Ami s’attaque à des femmes riches, plus élevées que lui socialement, alors que Ripois massacre de pauvres êtres vulnérables. Et puis Bel Ami a une énergie vitale qui lui donne du charme, tandis que Ripois est un minable, c’est ça qui est intéressant d’ailleurs.
Donc vous avez fait un très bon choix avec cette oeuvre et je me réjouis d’en continuer l’écoute.
Les discussions entre les souteneurs sont d’une ironie géniale, vraiment comiques.
Très heureux, chère Sylve de vous trouver au rendez-vous de ce nouvel enregistrement, toujours aussi pertinente dans vos analyses. Au point où vous en êtes de l’avancement de votre écoute, j’espère que le sort de la pauvre Marcelle ne vous aura pas dissuadée de poursuivre… La comparaison avec Bel Ami n’est pas de mon fait et c’est vrai que notre Ripois, à force d’ignominie, en devient pitoyable. Il est une calamité pour toutes celles qu’il laisse dans le fossé sur ce qu’il croit être sa route , mais une calamité pour lui-même aussi…
Erratum… tum… tum…
LENZ !… bien sûr !… 🙃…
Ps… Bon points… Il n ‘ y en avait pas de mauvais… Des lignes à recopier … genre… ” Je suis un incorrigible bavard “… en tenaient lieu… Sautillant… tu copieras… 20 fois… 50… 100… jusqu’ à… 1000 !… si si… selon la gravité de la faute… Nous les preparions d ‘ avance… pour ne pas être pris au depourvu !… Ah la la… quel heureux temps !…
Oublié de vous dire que… j’ aime beaucoup l ‘ illustration de… ” Monsieur RIPOIS “… Croyant que c’ etait une reproduction de tableau… j ‘ ai cherché… rien… Il semble que ce soit une carte postale originale… c’ est bien ça ?…
Chers tous,
Je viens d’identifier la raison du bug de la disparition du bouton “Ajouter un commentaire” : c’est lorsque le commentaire dépasse une certaine taille. Je signale tout ça à notre webmaster Julien afin d’essayer de régler le problème.
En attendant, vous pouvez utiliser la touche de Tabulation pour faire réapparaître le bouton en question. Ou, si cette solution ne marche pas pour vous, et pour ne pas perdre vos messages, pensez à faire un copier/coller vers un document texte par exemple, vous pourrez l’envoyer – en plusieurs morceaux pour le moment.
À bientôt ! 🙂
Oui, c’est bien cela, Augustin, je viens d’en faire l’expérience. Et, qui plus est, un commentaire trop long efface à sa suite le bouton de réponse.
Aaah… Cf. … ” Bavards “… la desopilante chanson de Tom NOVEMBRE …
J ‘ en profite pour… 😉… à GAËLLE 🍓…
À tous… cordial salut…
Bonjour Bernard, Pour le lien “Répondre”, c’est un peu différent : seuls 3 niveaux de commentaires sont autorisés, afin que l’ensemble reste lisible (notamment sur smartphone). Bonne journée 🙂
@ CLARYSSANDRE… Chère CLARYSSANDRE… Bonjour….
Oui… allez y !… Une belle decouverte pour moi… J ‘ espère pour vous aussi… Votre échange avec Bruant d’ ALMEVAL… au sujet de… ” Laide “… a retenu mon attention… J ‘ irais voir de plus près… ce texte pour lequel je n’ avais aucun attrait… à priori…
Mon cordial salut… et à Bernard MORA…
J’ai eu également le même problème hier. Quand j’ai voulu envoyer mon commentaire… Pas d’ “ajouter un commentaire “. Je suis sortie de la page puis revenue. Ce n’est qu’à la 3° tentative que j’ai pu l’envoyer.
Aïe !!! Rebelote aujourd’hui ! La case est bien là et des que je termine d’écrire le commentaire, nom… Elle disparaît . Je retente…
Bonjour Claryssandre, Merci pour ce retour. Lorsque le problème survient, pourriez-vous également faire une capture d’écran et l’envoyer à l’adresse : contact@litteratureaudio.com ? Ainsi nous pourrons investiguer ! À bientôt, et bonne semaine, Augustin
Bonjour Claryssandre, et merci pour votre intérêt. Aucun commentaire reçu de vous, en effet… Peut-être répondre à mon présent message sera-t-il la solution…
Désolée le message en question n’était pas pour vous mais voici l’occasion de vous remercier pour ce choix de lecture. Je l’ai téléchargée et l’écouterai dès qu possible avec grand intérêt. Les quelques lignes de présentation ont titillé ma curiosité. Bonne soirée et à bientôt…😊🌹
Ps. Cette fois la case ajouter un commentaire est bien présente. Pourvu que ça dure ! 🤞
@ AUGUSTIN… Bonjour…
Je viens de laisser un long commentaire de cette lecture… La case… ” envoyer “… n ‘ est pas apparue… et le message… Pfuiiittt… Pouvez-vous le rattraper… par le pan de la chemise… ou n’ importe quel bout ?… “Vraiment pas envie de recommencer…
Cordial salut…
Bonjour Sautillant, Je ne retrouve pas votre commentaire donc ce n’est pas un problème de mise en spam mais bien un problème d’envoi. Pouvez-vous faire une capture d’écran la prochaine fois que vous rencontrez ce souci du bouton “Envoyer” absent ? Je pourrai ainsi faire suivre à notre webmaster Julien. Bonne semaine et bien cordialement, Augustin
Bonjour Sautillant, et merci pour votre intérêt. Impatient, bien sûr, de lire votre avis éclairé… Répondre au présent message solutionne-t-il le problème?
Rebonjour… Bernard MORA…
Eh oui… recommencer est la seule solution… ou… laisser tomber…
Bon… je vais essayer de tirer la substantifique moelle de ce que je bafouillais tantôt… Leonard COHEN… m ‘ attendra un peu… ( je suis en train de réécouter la magnifique biographie… que lui a consacré… une certaine… Sylvie SIMMONS…
Deuxième lecture enchaînée… c’ est dire si ça m ‘ a plu !…)…
Monsieur RIPOIS !… Un petit homme… avec une plutôt belle gueule… et une petite moustache… qu’ il lisse en ronronnant… quand ses affaires ont bien tourné… et… ma foi… elles tournent plutôt bien que mal… ses peu reluisantes affaires… c ‘ est que… le soleil brille sur les méchants… pas moins que sur les bons… Il n’ a pourtant pas de quoi pavoiser… ce triste sire… mais il voit la chose d ‘ un autre oeil… Il est libre… lui !… Pas comme tous ces pauvres ploucs !… Le commun des mortels… dont la grâce lui a ete donnée de se distinguer… et il remercie le ciel… et surtout se décerne des auto-congratulations à chaque mauvais coup réussi… Comme il est intelligent !…Ses “exploits” sont pourtant de la plus basse espèce qui soit… la seduction et l’ exploitation de jeunes femmes… désemparées… ou trop romanesques… ou cherchant un mari… Le lissage ronronnant de sa petite moustache… accompagné parfois d’ un ricanement de mepris… condensant… toute sa béatitude… Ah !… cette petite moustache !… L’ irrépressible envie nous vient… chaque fois… de la lui faire ravaler… Tiens !… Qu ‘ elle t’ étouffe !… ” Chien !… Chien !… Chien ! … “… lui jette à la figure… sa belle petite gueule et sa petite moustache… le parent… aveugle… de sa dernière victime… la plus tragique… Celle qui… par une voie inattendue… sera l ‘ instrument de la nemesis…
Et pourtant… et pourtant… Oui… Et pourtant…
D’ où vient-il ce monsieur RIPOIS ?… Par quels cheminements est-il passé pour devenir celui qu ‘ il est… au moment où l’ auteur… nous le jette en pâture… semble-t-il… L ‘ auteur n’ en souffle mot… et n ‘ en laisse absolument rien entendre…
Le voici à Londres… jeune Français… en dessous de la trentaine… exilé depuis deux ans… au moment où il se débarrasse… en y mettant les formes… eh oui !… de l’ amour servile… et de la mauvaise cuisine… de sa dernière victime… qui lui assurait le gîte et le couvert… son salaire de petit employé de bureau… lui servant d ‘ argent de poche… et de sécurité pour les periodes creuses… entre deux proies… celle dont il est rassasié et celle dont il va se rassasier… De là… nous ne le quittons plus d ‘ une semelle… et le suivons… écœuré… dans tous ses minables agissements…
Bon… je suis en train de me perdre dans les détails… abregeons…
C’ est un vraiment beau livre… que nous donne là Louis HEMON… Rien à voir avec le roman à quat ‘ sous… que pareil sujet aurait pu entraîner… Avec force larmoiements sur les pauvres malheureuses… et crachats sur le salopard…
” Qu’ on lui coupe la tête ! ” … avec son arrogante petite moustache… Qu ‘ on lui arrache son coeur de pierre !… Soit…
Et pourtant… Quel drôle de type… ce monsieur RIPOIS… Bien different du ” Bel ami ” de MAUPASSANT… auquel il peut faire penser… de prime abord…
Si vague… si flou… Que veut- il vraiment ?… L ‘ argent et tous les plaisirs et distractions qu’ il procure ?… Il voudrait s ‘ en persuader… Mais un bon repas avec bon vin bon café bon cigare… et le voici satisfait… En fait… il se contente de ce qu’ il a… si peu cela soit-il… et quand sa chance tourne… quand il perd son emploi et se retrouve à la rue… sans un penny… il maugree… certes… et se décide… en pensée… aux pires expedients… mais il est totalement incapable de passer à l’ acte… Lâche… veule… on peut le dire comme ça… En fait… de mon point de vue… D ‘ une totale passivité… sans reelle raison d’ être…. Porté par le hasard… ses bonnes et mauvaises fortunes… La meme chose quand… l ‘ habile stratagème qu’ il a echafaudé… pour faire main basse sur le magot d ‘ une riche héritière… vole en eclats… et qu’ il se voit démasqué… victime à son tour d ‘ une manigance… des plus comiques… Il fait profil bas… Pas de chance… Tant pis… Et il repart pour un dernier tour…Car ce sera le dernier… Dans le même temps de sa déconfiture… Quelque chose de totalement inattendu lui tombe sur le paletot… Le… ” Trop tard “… d ‘ une révélation… que je laisse le soin aux lecteurs à venir… de decouvrir… NEMESIS…
Monsieur RIPOIS en a fini… Il va rentrer en France… À chacun d’ imaginer ce qu ‘ il deviendra… comme il a pu imaginer… ce qu’ il etait avant…. Pour ma part… je pense qu ‘ il va commencer par… se raser la moustache !…
Un beau livre… oui… des plus intrigants… ayant sans doute des relations secrètes ( du moins por moi… sans doute ont-elles été mises à jour par les exegetes…)… avec la vie de son auteur… L ‘ ecriture… un rien désinvolte… evite le piège du roman à quat ‘ sous… comme je l ‘ ai déjà dit… en collant à la desinvolture du … personnage… comme si c’ etait lui… qui nous racontait son histoire… Les premières pages sont magnifiques… Et… subrepticement… d ‘ infimes signes… qui nous rendent plus compréhensible… la surprenante fin… Oui oui… je me disais bien…
Vision toute personnelle… ce monsieur RIPOIS… est comme… le propre à rien du livre d’ EICHENDORFF… ” Scenes de la vie d ‘ un propre à rien “…. mais sans le souffle poétique…. d’ où cette chute dans le sordide… Proche aussi de…
Il y aurait tant à dire….
C ‘ est la première fois que je vous ecoutais… Bernard MORA… Votre lecture est excellente… en parfaite syntonie avec le texte…. et le petit air de Scott JOPLIN… sur lequel nous passons d’ un chapitre à l ‘ autre…… aussi…
Ps… @ LÏAT…. ALOHA…. Chère LÏAT… surmontez votre aversion épidermique… C’ est un texte qui mérite d ‘ être lu… et médité…
Bonsoir, Sautillant, et toute ma gratitude pour ce long message que vous avez voulu prendre – et reprendre! – le temps d’écrire afin de faire partager votre plaisir.
Faute de bouton REPONDRE, j’utilise celui d’un de vos précédents messages, au risque d’aggraver l’ordre chaotique de ces commentaires. Victime de ma prolixité ( à mon tour et à mon grand dam j’ai vu disparaître, en plein élan, le bouton d’envoi) je vous réponds de façon plus resserrée pour que mon message puisse au moins vous parvenir.
Parmi les rapprochements possibles que vous évoquez, je verrais bien “L’Opéra d’ de quat’sous” (le même Londres de la même époque, interlope, canaille et famélique où la morale est subordonnée aux besoins premiers) et aussi – excusez du peu! – Camus, avec cet exilé, “étranger” aussi à ce que nous pensons fonder notre humanité, et dont nous sommes sommés, non sans perplexité, d’adopter le point de vue, “focalisation interne” oblige.
Quand au “Taugenichts” d’Eichendorff dont vous parlez, il me tente depuis longtemps, savez-vous, mais je n’ai pas encore trouvé pour l’enregistrer de solutions musicales (violon solo accompagnant le héros, lieder de Mendelssohn, Schumann ou Schubert ponctuant le récit ) qui me satisfassent.
Encore un bouton d’envoi… j’en profite pour conclure avant qu’il soit trop tard, vous remerciant une fois encore.
Bien cordialement à vous.
Bonjour… Bernard MORA…
Nous avons fait la même lecture… À tel point qu ‘ en jetant une passerelle vers… … ” L ‘ etranger ” de CAMUS… vous avez complété mes pointillés… De cet ” Etranger “… je ricoche vers le… ” Aux abois “… de Tristan BERNARD… un texte découvert il y a à peine quelques mois… et que j ‘ ai constaté être lu sur le site par… notre chère POMME… qui dit dans sa presentation… ” D’ aucuns verront en lui… la prefiguration de ” l ‘ etranger “… POMME… dont je suis vraiment curieux de connaître ce que lui inspire ce monsieur RIPOIS… elle qui a des sympathies pour…” Bel ami “… et ecarquille les yeux devant mes grands ecarts !… Le mot est pompeux… l’ intertextualité… mais la notion est des plus stimulantes… et les grands grands grands écarts… à la ” Valentin le désossé ” … bien bien bien amusants… Je reconnais que faire un lien avec le ” propre à rien “… et monsieur RIPOIS… a de quoi laisser… 🤔🤔🤔… 🤭… Plus evident… outre CAMUS… celui avec … ” Extension du domaine de la lutte “… pour moi le meilleur livre de HOUELLEBECQ… son premier… que je place aussi haut que ” L ‘ etranger “…
Bref… vive… ” le plaisir du texte ” …
Au delà de cette limite… mon ticket risque de ne plus être valable…
Cordial salut…
Ps… Quel grand plaisir ce serait que de vous ecouter nous lire… ” Scenes de la vie d ‘ un propre à rien “… J’ en ai parlé un jour sur le forum… avec… WEDLEY… si je me souviens bien… Je crois que la traduction… ” domaine public “… n ‘ est pas ce qu’ on fait de mieux… mais… tant pis…
Quant à la musique… tous ceux que vous dites… assurément… Me passe aussi par la tête… les pieces pour piano de JANACEK… ” Sur un chemin herbeux (couvert )…”…
ALOHA LIAT et Bernard MORA…
” À courtoisie… courtoisie et demi “…
( Benoît CHAMPY )… 😅…
Merci Sautillant! Je réserverais le Janacek ( un chemin vraiment ombreux!) plutôt pour le “Lenz” de Büchner… La traduction de Félix Gras, sur Gallica, ne mérite pas qu’on la diffame, sauf qu’il traduit “Taugenichts” par “fainéant” au lieu de “bon à rien” ou “propre à rien”… Pour l’image , en tout cas, Spitzweg s’impose!
Bernard MORA… Bonjour…
Les 3 traductions de… ” taugenichts “… me vont toutes très bien… elles me vont à ravir… même !… Et c ‘ est très bien comme ça… Je n’ en changerais pour rien au monde…
Ainsi… vous avez dans la tête… de nous lire aussi… ” LENTZ “… de BÜCHNER ?…
Vous êtes ma bonne fée… dites-donc !… Un texte… lu et relu… Il est si beau !…
Un sautillement sur ” Google “… m ‘ a fait apercevoir… ce SPITZWEG… que malgré mon âge qui avance… je n’ avais jamais croisé… Ça me plait beaucoup… le côté ” illustrateur “… J ‘ aime les belles images… celles que la maîtresse ( d’ école ) nous donnait… contre dix points… et contre dix petites images… une grande !…
Vous devinez sans peine… que j ‘ avais amassé un veritable butin !… J’ etais déjà bien sage… comme une image !… J ‘ ai vu qu’ il y en avait une… representant un peintre allongé dans l ‘ herbe… le nirvana ça !… Est-ce celle que vous zyeutez ?…
Nous attendons… votre heure…
Cordial salut…
Mais la maladresse était mienne, et j’en suis confus, chère Lïat, de n’avoir pas su assez marquer que mon dépit était feint, au pur deuxième degré, et que je vous savais surtout gré de vos si gentils compliments!
Merci pour votre indulgence, monsieur Mora. Voilà pour moi une autre occasion de constater que j’ai encore beaucoup à apprendre pour repérer toutes les subtilités de la très belle langue française(Ȍ‿Ȍ) . L’anglais est plus direct mais il convient mieux pour les affaires; le français est plus doux et plus subtil…
Salutations cordiales et bon dimanche !
@SAUTILLANT: coucou !
Bonjour monsieur Mora 🌞 Vous avez une voix que j’aime beaucoup, mais dans ce roman, c’est le personnage que je n’aime pas (ce n’est pas votre faute ! ). Je n’ai pas réussi à m’aventurer plus loin qu’au deuxième chapitre. Cet Amédée a un patronyme qui ressemble à “pourri”, ce qui annonce son âme noire… 👿…
Je vais demeurer à l’affût de votre prochain roman: peut-être sera-t-il davantage “dans mon registre”. Au plaisir ! Je vous souhaite une très belle journée🌸
Allons bon, chère Lïat, voilà que ce ripou de Ripois “me casse la baraque” et que vous ne lui laissez aucune chance!… Je ne vais pas vous faire le coup du “ce n’est pas avec de bons sentiments qu’on fait de la bonne littérature”, ni vous représenter que, de même que les bourreaux meurent aussi, les Ripois aiment aussi – pourvu qu’on leur laisse le temps de “se finir”, comme on dit… Quoi qu’il en soit, merci d’avoir pris le temps d’écouter, même incomplètement, et entendu pour un prochain rendez-vous auquel je m’applique déjà.
Désolée, cher monsieur Mora: j’ai perdu une belle occasion de me taire ! Je dois apprendre à retenir certaines de mes opinions- j’y travaille très fort- ; n’y voyez surtout aucune méchanceté… La spontanéité est un de mes traits de caractère, ce qui me fait commettre des maladresses.
Quoi qu’il en soit, je pense que les audiolecteurs gagneront à vous écouter car vous avez une diction qui permet de bien comprendre tous les mots et de suivre facilement le récit. 👁️‿👁️ Au plaisir !🌼🌼🌼
****«On naît heureux comme on naît maladroit.»Benoît Champy ****