Avec Maria Chapdelaine, l’écrivain Louis Hémon a fait redécouvrir le Québec aux Français. Il s’agit d’un roman dru et fort, d’une épopée simple et grandiose, aux confins de la forêt québecoise qui sert de cadre à une histoire d’amour que toutes les eaux glacées de la rivière Peribonka ne pourront effacer.
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Livre audio gratuit ajouté le 04/11/2007.
Bonjour Jean-François. Je ne connaissais de Louis Hémon que ses contes et ses nouvelles (son numéro de carte bleue aussi), et que j’avais adorés. “C’était le bon temps, j’avais vingt-trois…” (Gaboriau – Le petit vieux des Batignolles). J’ai commencé l’écoute de Maria Chapdeplomb et autant dire presto que j’irai jusqu’au bout (de la nuit) de ses lignes (!!! humour), parce que vraiment, votre lecture est aussi animée qu’un Walt Disney et que votre accent est aussi jouissif que des marrons chauds en hiver. Y a de la vie dans votre lecture, on sent que vous y avez mis du coeur, que vous habitez l’histoire et les personnages. Que dire d’autres quand on ne trouve pas ses mots ? Que vous me faites voyager dans un train de première classe. Alors bravo Jean-François, Louis Hémon serait fier de vous, sachez-le.
Amicalement, Stanley.
merci, Bruissement.
Mon accent québécois n’est peut-être pas 100% parfait et authentique… comme s’est complu de le signaler si énergiquement, dernièrement, Jonathan, alias Markov, le compatriote énergumène qui s’est permis de m’insulter abondamment en public ( je remercie encore notre ex-collègue Victoria d’avoir effacé toute cette polémique publique très désobligeante envers ma personne ) …mais ma variante franco-québécoise, qui, comme le Professeur Tournesol l’a si bien fait valoir, me caractérise, fait de moi ce que je suis, en tant qu’individu …constitue ma « marque de commerce », en quelque sorte. Il demeure à la disposition de tous les auditeurs et auditrices qui rechercheraient d’entendre quelque chose d’un peu « différent ».
Que tu me dises que tu aies apprécié mon accent, même s’il n’est pas parfait, que tu considères que cela a ajouté quelque chose au récit ( et tu n’es pas la première à me dire cela ) est une validation non seulement de ce que j’ai à offrir en tant que lecteur-bénévole sur ce site, mais également de ma personne, en tant qu’un individu pris entre deux cultures. Cette position curieuse, parfois pénible et dont je ne suis pas fautif, m’a occasionné bien de la peine à travers toute ma vie, tu sais : quand je vivais en France, les gens me prenaient pour un « Canadien », un espèce de métèque très étranger à leur culture, tandis qu’ici on a souvent insinué que j’étais un « maudit Français ». Je suis littéralement pris entre les deux pays. Beaucoup ne m’ont jamais accepté …des deux côtés de l’Atlantique. Selon eux, tu es ce que tu parles, point final. …ou du moins, selon la *façon* avec laquelle tu parles. Parfois, je me sens même un peu apatride…
Sans te raconter toute ma vie, je voulais juste te faire comprendre pourquoi ton gentil commentaire m’a tant touché et encouragé à un niveau plus personnel, même, que professionnel.
En tous les cas, chu bein content que tu aimes notre grand chef-d’oeuvre littéraire ! 🙂
…en passant, un gros merci au « maudit Français » qu’était Louis Hémon, pour nous avoir honoré de la sorte ! 😉 Puisses-tu, Louis, à travers la mémoire de ta personne et de ton oeuvre, éternellement bénéficier de la reconnaissance de tous les Québécois et Québécoises !
Que Dieu te bénisse. Bruissement,
porte-toi bien,
jf
L’accent convient merveilleusement à cette histoire, et est presqu’indispensable…
Belle lecture qui nous plonge dans un univers d’ailleurs et d’antan, pétri d’une simplicité toute de grandeur.
A écouter avec l’hiver qui arrive, près d’un bon feu et si vous fermez les yeux la lecture si vivante vous transportera dans l’atmosphère des veillées d’autrefois!
Chokran, vieux. C’est sympa… et encourageant pour moi. Dis donc, on ne te voit plus bien souvent sur Pal, hein ?!?!?! Viens-y quand tu pourras ; on pourra jaser de ce roman, si tu veux. Pis, j’étais supposé t’aider avec ton allemand ? Qu’est-ce qui arrive avec ça ? Porte-toi, bien. Alles Gute. Inch Allah. jf
Salut ..
je viens de télécharger ce roman de Maria Chapdelaine lu par mon ami le quebecois JF. j’adore ta voix jf .. keep on recording d’autres livres.
Elyes ( from pal )
Merci, Zyx ; c’est toi qui aurais dû présenter le texte sur le site ici, tellement tu fais ça bien 😉 Merci de partager ton expérience de voyage au Québec avec nous, Christiane… c’est très aimable. Une petite correction orthographique, ainsi que culturelle, s’impose, par contre : ce sont bel et bien des accents québécois* 😉 L’utilisation du mot « canadien », comme au temps de Maria Chapdelaine, pour désigner la culture francophone du Québec, est désuète depuis la Révolution Tranquille, dans les années 1960. Nous sommes bel et bein des Québécois, maintenant 😉 Le mot « Québec » provient de l’algonquin et veut dire : « l’endroit où le fleuve se rétrécit » Portez-vous bien.
Française de France, c’est avec grand plaisir que j’écoute… Je suis venue jusqu’à Chicoutimi, début Juillet pour la quatrième fois et j’ai regretté de ne pouvoir aler plus loin, cette fois, étant dans un programme de voyage avec conférences.
J’aime beaucoup votre pays et entendre cette voix cela change totalement le roman. Merci de tout coeur.Je vais l’enregistrer pour un de mes amis qui est mal-voyant et à qui j’avais fait récouvrir cette région, il y a quelques années.
Amitiés de mon petit coin de France (près de Bordeaux)
Certains disent: “Les audios livres sont faussés par la voix du lecteur”. Avec Maria Chapdelaine, vous sentirez le vent glacé des profondeurs de la forêt, les maringouins qui vous assaillent de partout, l’odeur de la boucane, la chaleur carressante du foyer… La lecture avec ces accents canadiens est un petit chef d’oeuvre de plaisir. Alors laissez vous porter par les “chars” quebecquois… Français de France : A ECOUTER D’URGENCE !!
Bon courage.
J’aimerais faire un petit comentaire par rapport à cette merveilleuse initiative que vous avez mise en oeuvre avec la lecture de ce livre. Pouvoir entendre un roman québecois lu par un vrai québecois est un grand plaisir. Un Chef-d’oeuvre comme Maria Chapdelaine dans lequel on découvre le peuple, un Québec que Hémon a connu, un Québec qu’il a vécu, un Québec qu’il a senti au fond de son coeur comme son peuple. Il nous montre les différents types sociaux et leurs activités, en suivant les saisons, tels comme se vivent dans une terre magnifique, qu’a forgée des hommes et des femmes avec une force de résistance si extraordinaire, avec une moralité exemplaire, avec une identité digne d’éloges. Je veux remercier au Monsieur J-F Leblanc pour la très bonne lecture, en reconnaissant le travail qu’il a fait pour les non-voyants et malvoyants, principalement; et pour tous ces qui veulent améliorer son français, et veulent mieux connaître la litterature québecoise. Et je voudrais vous remercier, Litterature Audio, pour avoir créé ce site qui offre de la meilleure littérature aux malvoyants, et à tout le monde à travers d’internet. Depuis l’Argentine je vous souhaite tout le meilleur dans cette grande réalisation.