Ambroise-Louis Garneray, né le 19 février 1783 à Paris où il est mort le 11 septembre 1857, est un corsaire, peintre de marine, dessinateur, graveur et écrivain français, précurseur du roman d’aventure maritime. Il connut une vie d’aventurier avec Surcouf et Dutertre, il fut huit ans prisonnier des Britanniques.
Le début : « Je suis né à Paris le 19 février 1783. Mon père, dont le nom figure honorablement dans les biographies des contemporains, me destinait à suivre sa carrière. Un penchant irrésistible que je ressentais pour les aventures et les voyages, un enthousiasme pour la gloire, partagé, au reste, par la jeune génération de cette époque, enthousiasme qui me brûlait le sang et me présentait sans cesse, pendant mes journées et mes nuits, des pensées et des rêves de combats, s’opposèrent à la réalisation des désirs de mon père. »
Votre verve est enthousiasmante, Frederik !
Quelle écoute, quelle épopée !… je n’en suis qu’au chapitre quatrième que déjà…Hop, j’en suis à ma troisième bouteille de rhum ! Hic, Mille Sabords…que d’eau que d’eau oh oh jusqu’à Valparai-so oh oh!!!
Bref, un texte à écouter avec modération
Quant à moi, je n’oublie pas l’audio-lecteur ! Merci à lui, Archeus !
Merci pour les 10 heures de divertissement. C’était aussi bien sur le fond (auteur) que sur la forme (lecteur).
Bonjour matinale ou insomniaque françoise !
En ecoutant les malheurs de Garneray j’ai sous les yeux ses tableaux que l’on trouve reproduits sur les moteurs de recherche Qwant ou google.Il avait bien du talent et de la chance , quelle vie de chien que celle de marin dans ces temps là !
Un commentaire, chère Claire-Marie, comme je/on les aime !
Inutile de dire que les termes de marine n’empêchent en rien la compréhension de l’histoire !
Je suis en train d’écouter et, que les faits soient entièrement vrais ou pas, peu importe. Voilà un bon roman d’aventures écrit avec vivacité et précision.
En effet, l’auteur a décidé d’écrire après avoir lu ce qu’il considérait comme des écrits imprécis et ne tenant aucun compte des réalités de la vie en mer.
Excellente décision !
Par contre, je vais me dispenser de rechercher tous les termes de marine. Il y en a trop!
Merci cher Daniel d’avoir, sans le vouloir, rencontré mes intérêts.
Puissé-je partager avec vous, françoise, le grand plaisir que j’ai pris à enregistrer ce tome 1 !
Voilà notre marin, vite embarquons, merci trop Daniel pour ce beau voyage .