Cette délicieuse nouvelle d’amour de Leopold von Sacher-Masoch (1835-1895) a été publiée dans La Revue universelle illustrée en 1880.
« – Mais, ma tante, deux amoureux ont à se dire bien des choses qui ne sont pas destinées à être entendues par les oreilles d’une tante, fût-ce une tante aussi bonne que vous. En votre présence, Ter Borch sera mal à l’aise, il manquera de courage pour me faire les doux aveux que j’attends de lui.
– Si ce n’est que cela, ma chère petite, tu lui diras que tu as une tante sourde, sourde comme un pot, et que vous pourrez causer sans la moindre gêne. »
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Théophile-Alexandre Steinlen, La Jasante de la Vieille.
Vous me bouleversez, Ishtar !
Merci de votre lecture et de vos lectures en général.
Votre voix suave et votre parfaite interprétation sont vraiment un plaisir à entendre.
Vous serez peut-être amusé de savoir que l’enfant que je porte en moi et très calme lors de vos lectures.
Peut être que comme moi ces moments lui sont agréables.
Merci donc de ces instants de quiétude.