L’Éloge des Oiseaux, Œuvre morale numéro XVII, est un fort joli texte, sur le chant des oiseaux, « cette marque d’allégresse » et sur l’homme, qui, « de toutes les créatures est la plus tourmentée et la plus malheureuse possède celle de rire ».
Giacomo Leopardi nous offre ici un texte court, « aérien » oserons-nous dire et de profonde réflexion philosophique.
Et si « Anacréon désirait pouvoir se changer en miroir » quel joli rêve que d’« être changé en oiseau pour éprouver ce contentement et cette joie qu’ils ont à vivre », nous dit Giacomo Leopardi.
Jim Bendon, Un mandarin-diamant, doué d’une ouïe exceptionnelle licence Cc-By-Sa-2.0
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto numéro 1 pour haut-bois, en Ré majeur, K314 – K271k III, Allegro, interprété par Haakon Stotjin et l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam, dirigé par Eugen Jochum (1961, domaine public).
Chère Marcelle, bonjour, je dois dire que votre message me fait grand plaisir. Je pensais abandonner ce travail avec les textes de Leopardi, il en reste encore de disponibles sur Wikisource, je vais donc poursuivre.
Je suis ravie que Leopardi intéresse, vous-même, Isabelle hier.
Et que ce petit travail puisse contribuer à ma bien modeste mesure à la connaissance de la langue française est ce qui me motive sur ce site.
Vous faites un travail d’une extrême importance, y participer un peu, ne peut que m’encourager et me combler.
Chère Marcelle, tous mes remerciements !
Toutes mes amitiés bien chaleureuses.
Très belle semaine pour notre belle langue !
Christiane-Jehanne.
C’est trop rarement que je dis merci pour tous ces textes que (toutes et tous) vous me faites découvrir et aimer, celui-ci m’enchante particulièrement; j’aime Léopardi. Je vais m’en servir pour l’animation de la Semaine de la langue française et la francophonie en mars.Vous aidez à la connaissance et l’amour de la littérature dans toutes ses expressions. Encore merci.
Marcelle
Chère Isabelle, bonjour, grand merci de votre si gentil commentaire qui me touche vraiment beaucoup.
Très belle journée à vous, douce et sereine, et, si je puis me permettre, de légèreté toute mozartienne.
Bien amicalement !
Et encore grand merci!
Christiane-Jehanne.
Accompagné de Mozart âme enfant j’ai beaucoup aimé cet éloge que je partage sincèrement. Les oiseaux interpellent notre âme à qui est attentif. Merci Christiane pour ce texte et votre voix.