La même atmosphère que dans C’était… Comme cet écrivain a dû souffrir d’être habité sans cesse par la hantise de la mort ! Seul un petit rayon de soleil, incarné par un bébé, illumine ce récit…
« Lui-même, il mourrait bientôt, il le savait. Lorsque, tout à l’heure, il allait se lever de sa couche, ses jambes vacilleraient et fléchiraient, ses bras auraient des mouvements incertains, étranges, et c’était la mort. […] »
Traduction :
Traduction : Serge Persky (1903).
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Livre audio gratuit ajouté le 30/04/2009.
Comme dans beaucoup de nouvelles de cet auteur, parus sur ce site, une lueur au milieu des ténèbres et de la déchéance…
Merci M Depasse vous m’enchantez avec des nouvelles déprimantes
bonjour Monsieur Depasse,
Il y a quelque chose de sain et de saint dans la venue de cet enfant comme dans les larmes du vieil homme – je remarque aussi que l’enfant n’est pas venu chex les gens riches qui s’ennuient mais chez les pauvres gens du sous-sol…………………………….
amen
cordialement
Moi, j’aime beaucoup cet enfant plein d’espoir au milieu de toute cette noirceur
Je partage,Marixa,votre peu de goût pour le
morbide,mais cet auteur russe a plu à beaucoup
de ses contemporains….Précipitez vous sur
Courteline ou Mark Twain pour échapper à cette
détresse!
Ah la la Monsieur Depasse j’aimerais beaucoup vous écouter lire des lectures plus joyeuses 😉