Jean Eugène Léon Sazie (1862-1939) a présenté, en 1908, les aventures de Martin Numa, surnommé « le roi des policiers », dans les colonnes du journal L’Œil de la police.
« Martin Numa est très populaire. Il a été mêlé à tous les grands drames à sensation de ces dernières années.
Le public suit avec émotion, avec angoisse, son enquête, s’intéresse prodigieusement à sa façon de procéder, à sa méthode de recherche, à l’ingéniosité de ses moyens. Il aime son audace, sa bravoure, son sang-froid à tout épreuve. Pour le public, Martin Numa est comme un grand premier rôle, idole de la foule, que l’on acclame avec enthousiasme, quand, après des péripéties sans nombre, il sort vainqueur de toutes les embûches, de tous les dangers dont son chemin est parsemé. Et, vraiment, on l’eût applaudi de tout cœur, quand il parvenait, comme au dernier acte d’un grand drame, à jeter au pied du tribunal le coupable et à faire triompher la justice. »
Couverture de Léon Sazie, Martin Numa, roi des policiers.
Prenez bien soin de vous cher Daniel !
Vous n’êtes pas au bout de vos peines, Philippe, car la série contient onze tomes, et je serais déjà sur le dernier si une rhino-pharyngite ne m’en empêchait !
Merci pour cette lecture et de nous faire découvrir Martin Numa. Qu’est devenu Vidal ? Je vais écouter la suite rapidement. La voix du lecteur est agréable, bien articulée et le ton est juste.
Amusez-vous bien, Dominique !
Trop bien cette histoire j.adore vivement que j.ecoute la suite merci beaucoup
oh j’ai pensé cela en parcourant tout à l’heure la version texte qui annonçait un second volume !
Merci d’avoir pris le temps de me le signaler.
Je serai patiente autant que nécessaire, j’admire tant votre travail et je suis si contente d’avoir découvert ce site !
On ne peut rien cacher à vos (fines) oreilles, Marjolaine !
Quant à l’énigme irrésolue, bien sûr, il y a une suite. Patience…
Mais l’énigme du vieux monsieur disparu n’est pas résolue ! Ai-je manqué quelque chose ? D’imagination peut-être ? En tout cas, je sais quand vous lisez le matin. C’est comme pour Cocotte. Vos voix sont beaucoup plus graves. Très émouvant cette grande différence.
Pour tout dire, Jibou, je le connais depuis peu. Je l’ai trouvé en systématisant mes recherches dans les éditions Tallandier (ma lubie de ce moment-là…).
Tres bien ce Martin Numa dont j’ignorais évidemment l’existence!!Encore merci Monsieur Lutringer! Il a un petit côté Nesyor Burma!!