Beautrelet, l’adversaire de Lupin est ici un jeune lycéen, naïf, débrouillard et sympathique qui veut tout résoudre par la force de son esprit, mais on espère quand même que Lupin va gagner… parce que c’est Lupin !
Une histoire drôle souvent, avec une conclusion que l’on aurait voulue moins tragique.
« Par exemple, rudement endommagée, l’Aiguille, quand j’ai réussi à la découvrir ! On voyait bien que nul n’avait possédé le secret depuis un siècle, depuis Louis XVI et la Révolution. Le tunnel menaçait ruine. Les escaliers s’effritaient. L’eau coulait à l’intérieur. Il m’a fallu étayer, consolider, reconstruire. […]
Beautrelet, tu diras à l’univers que Lupin n’a pas pris une seule des pierres qui se trouvaient dans le coffre royal, pas une seule, je le jure sur l’honneur ! Je n’en avais pas le droit. C’était la fortune de la France… »
N.B. : N’hésitez pas, chers auditeurs, à observer le mystérieux message codé qui fait son apparition à la fin du deuxième chapitre…
Je crois plutôt,cher Leconte de Pais critique,que le lapsus est dû à la ressemblance de l’aiguille avec un clocher ajoutée à la succession des sonorites identiques AI I E et au manque de vigilance de votre serviteur!Cordialement RD
“Le traité de l’église”: c’est ainsi que notre cher conteur annonce le chapître VII. Vu ses remarquables “états de service”, l’indulgence des auditeurs lui est largement acquise. Mais,au fait,s’agit-il vraiment d’un “lapsus linguae” ou bien – l’église étant forcément creuse – d’un message … crypté ?
Avec tous les compliments d’Arthur Lupin !
Merci Mr Depasse. Vos lectures sont toujours aussi délicieuses et réconfortantes. Merci pour votre travail. Je ne me lasse plus de vous écouter. Bonne continuation.