« Paris, 23 octobre. – Laissez-moi d’abord vous expliquer ma situation. J’ai chanté le mal, comme ont fait Miçkiéwicz, Byron, Milton, Southey, A. de Musset, Baudelaire, etc. Naturellement, j’ai un peu exagéré le diapason pour faire du nouveau dans le sens de cette littérature sublime qui ne chante le désespoir que pour opprimer le lecteur, et lui faire désirer le bien comme remède. […] »
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Livre audio gratuit ajouté le 16/10/2008.
C’est vraiment excellent.
Merci beaucoup.
Thierry
Très bon. Continuez
Bonjour 🙂 Merci pour cette lecture ! La voix, jeune se me semble-t-il, convient parfaitement à l’âge d’Isidore Ducasse.
C’est très intéressant!