« Je venais de franchir la montagne qui sépare le beau vallon d’Ornano de celui de Bastilica. Monté sur un des petits chevaux corses, laids, têtus et pleins de feu, je lui laissais descendre, la bride sur te cou une pente rapide à travers les massifs épais d’une forêt vierge. La beauté du paysage, la pureté de l’air, le calme de cette nature majestueuse, me reposaient du babil de mon guide. Vêtu d’un grossier surtout de poil de chèvre son fusil en bandoulière, coiffé du bonnet national, semblable à un clocher de village. il marchait devant moi, se retournant à chaque instant pour .me raconter de longues histoires de bandits, qui, loin de m’effrayer, ne me causaient que de la fatigue et de l’Impatience.
Tout à coup je le vis s’arrêter… »
… Vous nous en direz tant ! 😉…
À… dans pas longtemps…
( j ‘ ai agrandi votre avatar… plein ecran… Parfaite illustration de votre pseudo… Bien vu !…)…
Cordial salut…
… Ah ! Mon evasion… J ‘ ai trouvé cette histoire… sans surprise… De mon point de vue… l’ auteur… qui a tenu à conserver l ‘ anonymat… pourrait être n’ importe qui… sachant correctement tenir une plume… Par contre… par contre… je me dis que ça aurait fait… un bon livret d’ opera !
Avec mon cordial salut…
Oui Sautillant, je suis bien d’accord, cette histoire est sans surprise. Mais j’ai mis tellement de temps pour lire “le vrai Chevalier de Maison Rouge” déposé la semaine précédente, que j’avais besoin de lire quelque chose de rapide, et ludique pour me redonner du moral.
J’ai eu plaisir à le lire, avant de me lancer de nouveau dans une lecture plus copieuse
Quant au livret d’opéra, oui, effectivement, avec en toile fond les beaux paysages corses ….
Souvenons nous quand-même, que cette histoire date de 1829. Les mentalités n’étaient pas celles d’aujourd’hui
Bonjour Sautillant
Merci pour ce compliment, concernant mon avatar
Il est prêt depuis longtemps, mais je n’ai pu le mettre qu’avec cette nouvelle version de LA
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