Une histoire policière crédible et touchante, habilement exposée par Jules Mary (1851-1922), ami de Rimbaud, qui publia un roman par an, en feuilleton. Très influencé par Les Misérables, il s’intéressa particulièrement au thème de l’erreur judiciaire et de la réhabilitation du condamné dont Roger-la-honte (et sa suite) est une émouvante illustration.
« […] C’est que, justement, il y a sept ans que Suzanne est née : Suzanne, l’unique enfant, l’enfant gâtée, l’adoration du père.
Et, dans les longues heures de la journée, depuis l’avant-veille, Henriette lui fait réciter quelques mots qu’elle lui apprend par cœur et par lesquels Suzanne va souhaiter la bienvenue à Roger, dans un instant, lorsqu’il entrera. »
Cette fillette joue un grand rôle dans le procès…
Merci beaucoup pour votre lecture de cette oeuvre, c’est formidable. Et moi aussi, j’attends avec impatience la suite.
Très belle oeuvre, j’attends avec impatience la suite.
Merci Katherine.Vous me rassurez parce que la voix a son âge pesant,même si elle est apaisante!Bien cordialement R D