Au temps de Louis XIII dans le Limousin… « Ce n’était donc pas la seule beauté de Solignac qui le rendait célèbre, c’était aussi sa bravoure ; Martial Castoret, son écuyer, qui était cependant brave, disait même souvent : « Sa témérité. » […] Ce temps des guerres était, il est vrai, à demi passé, et le beau Solignac goûtait depuis une longue année au moins le calme bonheur du repos, lorsqu’on l’avait vu partir, un matin à cheval, équipé comme pour un long voyage et suivi de Martial Castoret, les pistolets de guerre dans les fontes. »
Jules Clarétie (1848-1913), auteur de Ruines et fantômes (quelques récits sur notre site) nous raconte dans Un héros de roman les événements qui suivirent le départ inattendu du « beau Solignac » et de son fidèle Martial.
Jacques Callot, portrait de Claude Deruet et de son fils Jean.
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