Le chef d’escadron Mesnilgrand est un brave dont la carrière militaire a été brisée par son attachement à l’Empereur. Lorsqu’il visite son vieux père, celui-ci, pourtant très avare ,offre à ses amis des dîners mémorables où l’on insulte l’Église, où l’on invoque en riant les femmes et les faits d’armes que l’on a parfois rencontrés ensemble. L’hilarité grivoise de ces hommes de garde, qui « bouffent » du curé en même temps que les mets délicieux du vieux Mesnilgrand sera pourtant brisée ce soir lorsque Mesnilgrand fils narrera à ses camarades l’histoire de Rosalba qui « était pudique comme elle était voluptueuse, et le plus extraordinaire, c’est qu’elle l’était en même temps. »
Un des six récits composant Les Diaboliques (1874).
Félicien Rops (1808-1889), illustration pour À un dîner d’athées, dans l’édition de 1879 des Diaboliques.
Admirable René Depasse dont j’ai écouté avec ravissement, à ses débuts, les évocations si pleines d’intelligence, il est vrai servies par une voix remarquable ! Je lis la fin de “À un dîner d’athées” sur Wikisource…
Bonjour René, j’aime beaucoup votre façon et les mots de Barbey d’Aurevilly vous vont à ravir et vice-versa. Mais il manque la fin de l’histoire du dîner d’athées. Si des fois vous avez ça dans le coin d’un disque dur. Merci pour ça et pour tout. Stéphane
Comme c’est dommage, il manque la fin en effet. On dirait un problème technique insoluble. Je ne connaîtrai pas la fin de l’histoire.
Ce n’est pas pareil si je lis moi-même…
Pitié M. Depasse !
mais c’est vrai , il manque la fin du conte , il n’y a que deux chapitres !!!
peut-être que monsieur Depasse pourrait les ajouter, avec son talent habituel ?
merci!
Merci M. Depasse.
Bertrand a raison,il manque la fin.
j’ai l’impression qu’il manque la fin du conte,mais peut-etre que j’ai mal fait le téléchargement
belle lecture comme d’habitude