Gulliver, aventurier anglais du XVIIIe siècle, a soif de découvrir d’autres mondes. Ses voyages le mèneront au royaume des Liliputiens, êtres minuscules par rapport auxquels il fait figure de géant, puis au royaume des Géants, devant lesquels il endossera cette fois le rôle du nain.
Gulliver devra combattre des rats, divertir un roi, vivre dans une boîte comme une poupée… autant de péripéties plus incroyables les unes que les autres.
Traduction : Les livres 1 et 2 sont lus dans la traduction de l’abbé Pierre François Guyot Desfontaines (1727), disponible sur Wikisource.
L’introduction ainsi que les livres 3 et 4 sont lus dans la traduction anonyme parue en 1856 chez la maison d’édition parisienne Garnier et Frères, disponible sur Gallica.
Salut JF,
Je suis brèsilienne et J’habite au Brèsil, à Curitiba. J’apprends le français à l’Alliance Française. J’ai beaucoup aimé votre lecture..c’est très facille de comprendre pour nos qui sommes étrangèrs..Je parle l’anglais americain et peut-être c’est pour ça que je n’ai pas eu difficultés avec ton accent…
Bravo et merci..
Elia Regina
Salut, Lemuelson,
« Lemuel » – son ? Un grand fan de M. Gulliver, d’après ce que je vois, hein ? 😉 héhéhé
Je te félicite et te remercie pour ton intervention on ne peut plus positive, professionnelle, encourageante, utile et motivante. C’est précisément justement ce genre de feedback qu’il me manquait, en effet, pour pouvoir mener mon entreprise gulliverienne à bon port.
Grâce à l’indice précieux que tu m’as fourni, j’ai pu effectivement accéder à la traduction Furne de 1848 sur le site officiel de la BNF.
J’y ai relu à titre de test ce fameux chapitre deux du livre trois et j’ai constaté à mon grand plaisir que contrairement à la version de l’abbé Desfontaines ( et non de Louise Lacuria, au temps pour moi ! ), il semble être complet, puisqu’il parle du rôle des femmes laputiennes et semble respecter le texte original de Swift. Aussi, le français y est sans doute un peu plus moderne.
Avec ce document en main, il n’y a plus aucune excuse que je ne termine pas les derniers tomes de ce classique de la littérature anglaise.
Quant à l’erreur d’attribution de la traduction que j’aie utilisée…
* premièrement, je demande pardon à l’esprit de Mme Lacuria : il doit se retourner dans sa tombe 😉
* deuxièmement, je souhaite que quelqu’un de compétent, peut-être toi-même ?, puisse apporter la correction à l’entrée Wikisource.
* troisièment, il faudra que je voie avec notre administrateur de site comment corriger l’erreur d’attribution dans ma lecture ici-même sur littératureaudio.com.
Je ne saurais trop de remercier, Lemuelson… également de la part de tous ceux et celles ( on l’a vu ci-haut ) qui attendent impatiemment la suite de cette histoire. À eux, je ne leur demande que de m’accorder le temps nécessaire pour terminer ma lecture de la guerre des Gaules, qui tire bientôt à sa fin. Je me remettrai alors tout de suite à lire le Swift.
Je vous remercie de votre intérêt et appui continus.
portez-vous tous bien,
jf
Bonjour,
Je trouve vraiment dommage que cette lecture si agréable d’un grand texte de la littérature soit interrompue à cause de la qualité de la traduction disponible sur Wikisource, aussi je souhaiterais proposer un autre texte.
Wikisource attribue par erreur la traduction mise en ligne à Louise Lacuria, et la date de 1889, alors qu’il s’agit en fait d’une traduction datant de 1727, par l’Abbé Pierre-François Guyot Desfontaines.
En 1838, l’éditeur Furne a publié une luxueuse édition des voyages de Gulliver, avec des illustrations de JJ Grandville, une préface de Walter Scott, et une “traduction nouvelle”. Cette retraduction a été établie en partant de celle de Desfontaines et elle s’attache à en corriger les faiblesses connues.
Des rééditions, en 1852 et 1856, par Garnier, de l’édition Furne de 1838 ont été numérisées par Google Books et par la Bibliothèque Nationale de France (sur son site Gallica).
Bien que les (re)traducteurs de 1838 soient restés anonymes, cette traduction devrait maintenant être libre de droits compte tenu de son ancienneté. La BNF, qui héberge la réédition de 1856, la classe “Domaine public”.
Si le fait que les numérisations, qui n’existent qu’en mode image, ne constitue pas une gêne pour la lecture, cette traduction de 1838 me paraît répondre à votre souhait d’un texte français plus fidèle au texte original.
Salut, Sophie,
En réponse à ta question, je t’inviterais à lire mon commentaire du 29 janvier 2009. Encore une fois, je te signale que si tu peux me trouver une meilleure traduction légalement publique, selon la loi française, c-à-d dont l’auteur est décédé depuis au moins 70 ans, il me fera plaisir de terminer la lecture de tous les livres des voyages de Gulliver.
Quant aux Galapiats, une recherche Google m’informe qu’il s’agit d’une série télévisée pour enfants. Si tu parles des transcriptions en texte des émissions, là encore, malheureusement, il faudra attendre 70 ans après la mort de l’auteur.
Je suis vraiment désolé pour ton cousin mal-voyant.
Peut-être existe-t-il une version payante dans le commerce ?
Salut Fabienne,
C’est moi qui te remercie de ton appréciation. Ça m’a fait plaisir. Ton commentaire m’apporte un feedback précieux. Si j’ai bien compris, sans ce petit blanc, le fichier devient comme ces fichiers de musique en format .mp3, où la personne qui l’a créé utilise un programme qui coupe les dernières une ou deux secondes de chaque chanson. Je suis entièrement d’accord avec toi. Il n’y a rien de plus sacrant ( …on dirait, au Québec hihihi ) que ça au monde !
Je fais en effet toujours attention de laisser de tels moments de silence partout dans mes lectures. Exemple, quand je lis la guerre des Gaules, je compte deux secondes entre chaque section et sous-titre de début de section. Pour la fin d’un chapitre, je laisse encore plus.
Sachant ce que tu viens juste de me dire, je ferai encore plus attention à l’avenir.
Encore une fois, merci de ton feedback positif.
portez-vous bien toutes les deux,
jf
un grand merci pour cette lecture et surtout de laisser un petit blanc à chaque fin de chapitre car pour d’autres livres il me manque toujours la dernier phrase c’est ralant
fabienne
j’aimerai savoir quand est-ce que je pourrais télécharger la suite et fin du livre car mon cousin germain qui est mal voyant attend avec impatience que je lui envoie le cd à Toulouse.
De plus il voudrait savoir s’il est possible d’avoir en audio le livre des Galapiats qui avait été adapté par la télévision belge au début des années 70.
merci de me tenir au courant.
sophie
vraiment, Blackvelvet !?!? C’est *moi* qui te remercie ! C’est très encourageant, comme feedback ! Mais, néanmoins et malheureusement, j’ai quand même décidé de terminer ma lecture des voyages de Gulliver, jusqu’à nouvel ordre, à cause de la traduction incomplète et finalement, franchement mauvaise, en mon humble opinion, de Louise Lacuria. Figure-toi que j’ai été obligé de traduire moi-même toute la fin du dernier chapitre lu ! …avec l’aide de M. Brunault, adminstrateur de ce site. Par contre, si quelqu’un peut me dégoter une autre traduction plus acceptable, je serai preneur pour terminer le récit, pour ceux qui vraiment désirent l’entendre. En tout cas, merci de ton commentaire ; c’est vraiment sympa.
porte-toi bien,
jf
Captivant, effectivement à t’entendre on a reellement l’impression d’ecouter Gulliver narrer ses aventures! Bravo et merci!
Merci, Manolo. C’est sympa.
En effet, je lis lentement le Swift, et j’ai lu même encore plus lentement le Maria Chapdelaine, afin de donner une chance à ceux qui apprennent le français de suivre.
Quant à mon anglais, je crois qu’il soit important d’exposer les Européens à un anglais nord-américain. Moi aussi, j’apprécie que l’anglais parlé en Angleterre demeure celui de la plus grande qualité, mais il ne faut pas non plus oublier que l’anglais nord-américain demeure le plus parlé dans le monde, avec ses quelques 325 millions de locuteurs.
Merci d’avoir remarqué et d’avoir su apprécier pleinement mes efforts 🙂
Porte-toi bien.
jf
Tres bonne lecture. J’ajouterai qu’en plus d’être une forme de support pour certain dans l’apprentissage du francais, votre maitrise de l’anglais constitue aussi pour les francais une opportunité pour travailler leur anglais (oui notre accent est calamiteux). Merci donc