Ce récit de chasse intitulé Nouvelle (1826), écrit par Goethe à 77 ans n’a pas la valeur des Faust (1808), Werther (1774) ni des Affinités électives (1809). Dès sa parution il a plongé ses lecteurs dans une perplexité qui a duré ensuite… Une énigme à déchiffrer ? Cette histoire édifiante qui rappelle le souvenir du prophète Daniel dans la fosse aux lions se termine par : « C’est ainsi qu’un ange du ciel aime à prendre soin des enfants sages, pour empêcher les volontés mauvaises, pour encourager les belles actions ; c’est ainsi que la pieuse pensée et la mélodie conspirent pour enchaîner, par magie, aux faibles genoux du fils bien-aimé le grand roi de la forêt. »
Friedrich Bury, Portrait de Johann Wolfgang von Goethe (1800).
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