Cent douze fables de Florian ont été publiées de son vivant et douze de manière posthume. Les morales de certains de ses apologues sont encore citées couramment, comme « Pour vivre heureux, vivons cachés » (Le Grillon), « Chacun son métier, les vaches seront bien gardées » (Le Vacher et le garde-chasse) ou « L’asile le plus sûr est le sein d’une mère » (La Mère, l’enfant et les sarigues). Quant aux expressions « éclairer sa lanterne » ou « rira bien qui rira le dernier », elles sont tirées respectivement des fables Le Singe qui montre la lanterne magique et Les Deux Paysans et le nuage.
Voici le dernier livre des Fables de Florian.
« Le secret pour qu’on nous aime,
C’est d’aimer les premiers. »
La colombe et son nourrisson
Cher Didier
Votre si aimable commentaire m’a fait chaud au cœur. Comme tous les autres donneurs de voix du site, je me réjouis de vous avoir apporté un moment agréable.
Des appréciations comme la vôtre nous encouragent à continuer et à chercher d’autres textes susceptibles de vous plaire.
Je vous envoie toutes mes amitiés, pour vous et pour votre beau pays, le Mexique, dont j’ai tant admiré des photos.
Cocotte
Chère Marguerite
Merci d’avoir bien voulu laisser un commentaire à la lecture. Comme vous, je regrette que ces fables ne soient pas aussi célèbres que celles de la Fontaine ou d’Esope. Elle le mériteraient. J’espère avoir un peu aidé à faire connaître cet auteur.
Amitiés
Cocotte
Merc infiniment Cocotte pour lire avec tant de talent et nous faire partager vos sélections de textes. Bravo et encore MERCI!
Didier Pilette – México City.
merci à cocotte pour ce travail d’interprétation sur ces jolies fables trop injustement méconnues.