Pietro Antonio Rotari - Jeune femme écrivant une lettre d'amour (1755)

Julie, ou La Nouvelle Héloïse (Livre 6)

En dépit du genre romanesque sous lequel se présente La Nouvelle Héloïse, l’œuvre baigne dans une théorie philosophique où Rousseau explore les valeurs morales d’autonomie et d’authenticité pour accorder la préférence à l’éthique de l’authenticité contre les principes moraux rationnels : n’accomplir ce qu’exige la société que conformément à ses propres « principes secrets » et aux sentiments qui constituent l’identité profonde.

Dans le livre 6, Claire répond à Julie qu’elle aime Saint-Preux sans l’aimer. Ses sentiments pour lui sont plus que de l’amitié, mais sans être de l’amour et, quand elle le voit, ce qu’elle pourrait ressentir pour lui s’évanouit. Quant à Saint-Preux, il ressent pour elle une affection mêlée de tendresse mais ce n’est pas de l’amour non plus. Il ne peut donc être question de mariage. (Wikipédia)


Consulter la version texte de ce livre audio.
Remarques :

Accéder à l’œuvre intégrale…

Donneurs de voix ayant participé au projet, par ordre de leur entrée en scène :

Madame d’Orbes : Domi,

Milord Edouard : Vincent de l’Épine,

M. de Wolmar : René Depasse,

Fanchon : Plume,

Madame de Wolmar : Pauline Pucciano,

Saint-Preux : Aymeric,

Coordination : Cocotte.

Références musicales :

Georg Philipp Telemann, Partita in Bb, interprété par Paul Arden-Taylor, Keith Lewis et Carol Holt (domaine public).

Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 28/04/2015.

21 Commentaires

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  1. le commentaire de Jean-Pierre m’a bien fait rire, et si j’avais su où dénicher ces jolis smileys que vous utilisez tous avec tant d’aisance, j’en aurais mis un avec la bouche qui se fend jusqu’aux oreilles… Pourvoyeur de joie et de sourires, tel est votre site, sans oublier les nombreux morceaux musique que vous m’avez fait découvrir et que j’écoute jusqu’à en être saoule ! bien à vous !

  2. Quel plaisir de constater de plus en plus que tous vos projets collectifs vont bon train, aussi réussis que ceux du monologue,ce qui me procure beaucoup d’espoir de voir d’ici peu de temps un nombre considérable d’œuvres qui, jadis donnaient des frissons à l’aborder par le simple fait de son volume (considérable). Alors, les murs et barricades sont tombés? Oui à ce que je vois. Tous les honneurs vous reviennent. Merci pour vos efforts et vous prie en mon nom et aux noms de tous les auditeurs de cet aimable site de nous pardonner d’avoir usé de votre temps afin de nous sacré fier quelques moments de bonheur. Quand je dis vous, mes pensées vont à tout le personnel du site sans exception; bien sur ceux et celles qui ont donné leur voix (méritent un peu plus, ça c’est entre nous et pas de jaloux!). Merci à tous.
    Adem

  3. Je me joins à l’équipe pour vous remercier également pour vos commentaires, Christiane, Jean-Pierre, Alessandra, et au passage, je remercie également et spécialement Cocotte pour avoir m’avoir proposé de participer à ce merveilleux marathon !
    A très bientôt, j’espère.

  4. Comme Jean-Pierre Baillot, je me réjouis d’apprendre par votre entremise, Christiane, ce beau mot d’aliboron, trop peu usité à mon avis… Ces aliborons en troupeau ont des airs d’alligators… La bêtise et l’ignorance sont-elles aussi dangereuses que la férocité ?

  5. Nous sommes extrêmement touchés par vos commentaires. J’en suis tout émue!
    En effet, l’équipe de L.A. est formidable! J’apprécie de plus en plus chaque membre. Quelle que soit la longueur de son rôle, chacun a donné le meilleur de soi.
    C’est grâce à René que ce roman est sorti du placard où il languissait depuis des années. C’est lui qui l’a lancé. J’ai repris le flambeau et c’est un vrai bonheur pour moi d’avoir pu mener le projet à son terme, mais, sans les membres de l’équipe, leur générosité, leur professionnalisme et leur amitié, et sans l’aide cordiale et inlassable de Christine Sétrin, jamais il n’aurait pu voir le jour.
    Nous sommes très heureux de voir que nos efforts ont apporté quelque chose aux audio lecteurs, qui l’ont apprécié.
    Merci encore, du fond du cœur!
    Cocotte

  6. Grâce au beau travail de l’équipe et à la mise en garde de Christiane, je m’extirpe (à grand peine et après consultation du dictionnaire, tout de même) du troupeau des aliborons ! 😉

  7. Cette”mission impossible” est chose faite!malgré sa grande difficulté et après avoir sué sang et eau pour l’accomplir ! Votre profond attachement aux belles-lettres vous a donné la foi nécessaire pour croire à ce projet et le mener à terme coûte que coûte. En contrepartie, ce roman, qui prend à des endroits des allures de Sphynx, dense, long et difficile, je l’écoute lentement, sans rien passer, en pauvre remerciement pour le grand cadeau que vous nous faites.Aussi,quand maintenant “on” me dit que Rousseau “est nul avec sa théorie du Bon sauvage”je me pense”mon pauvre petit ou ma pauvre petite, tu n’as pas dû lire grand chose de lui !” Moi aussi, avant de vous fréquenter, j’aurais pu parler de la même façon mais je peux dire que grâce à vous, il y a un “avant” et un “après” Rousseau ; ce fut une révélation ; mon univers intellectuel s’est comme dégagé d’à priori et il a élargi son horizon. Désormais ceux qui fréquentent votre site n’auront aucune excuse s’ils font partie du troupeau des aliborons qui bavassent sur ce qu’ils ne connaissent pas. Vous ouvrez grand les portes de la culture, et des gens (écoliers,étudiants ou autres) incapables de lire de leurs yeux, le font désormais sans peine et gratuitement. Je vous donne 5 étoiles, mes chers amis, car vous me permettez de vous appeler ainsi ? et je vous exhorte à être fiers de vous !

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