« Paul-Louis Courier, ou plus exactement Paul-Louis Courier de Méré, était un pamphlétaire français, né à Paris le 4 janvier 1772, mort assassiné près de Véretz (Indre-et-Loire), le 10 avril 1825. […] II se distingue à la fois comme helléniste et comme écrivain politique. On lui doit en outre le traité de Xénophon Sur la Cavalerie (1813) et quelques autres travaux d’érudition. Lors de l’instruction de son second procès, Courier est présenté comme un maître dur au caractère difficile. Mais cette assertion est maintenant battue en brèche : avec ses proches, il était bon, tendre et doux. Dans le domaine public, il était prodigieusement agacé par le climat de flagornerie instauré par le pouvoir napoléonien, puis sacralisé par la monarchie restaurée et par l’hypocrisie sociale. » (Wikipédia)
L’Assassinat de Paul-Louis Courier nous raconte toutes les circonstances mystérieuses ayant entouré sa mort et le déroulement du procès qui mit cinq ans avant d être clos (juillet 1825-juin 1830).
« Un témoin était présent à l’assassinat de Courier : il avait vu tout ce qui s’était passé dans cet horrible moment. Il avait gardé le silence lors du premier procès, et tout porte à croire qu’il eût continué à se taire, sans un événement, peu important en apparence… »
Ary Scheffer, Portrait de Paul-Louis Courier (XIXe siècle).
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