Caroline Bingley, dans une lettre à sa « chère Jane » anéantit tout espoir : elle lui confirme qu’ils ne retourneront pas à Netherfield et avoue perfidement son souhait de voir son frère épouser la jeune sœur de Darcy. Wickham dénigre ouvertement Darcy maintenant que ce dernier est parti. Collins épouse Charlotte et l’emmène dans le Kent. Les Gardiner viennent passer Noël chez les Bennet et repartent avec leur nièce Jane à Londres où ils habitent. La rancœur d’Elizabeth augmente au cours de l’hiver : Jane, à Londres, n’a aucune nouvelle de Bingley et elle est persuadée que Darcy en est responsable.
Il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Sir George Hayter, Portrait d’une mère et ses quatre filles (XIXe siècle).
Bonheur partagé, Joelle, et merci à Gordon pour votre soutien !
Bonsoir Mr Luttringer, quel bonheur de vous retrouver Jane Austen et vous !
Ne vous dépêchez pas trop,Daniel:
soignez d’abord votre précieux organe 😉
(Ajoutez du thym à vos tisanes)
Faut que je me dépêche de m’attaquer au tome 3 !
C’est vrai que Jane Austen a crée les personnages merveilleusement mais votre interprétation est aussi un plaisir … merci beaucoup ! C’est un de mes romans préférés et maintenant je peut l’écouter au mieux !
Je vous remercie, Dorothée, de me rendre hommage quant à la caractérisation de ces deux personnages, sans oublier que le premier mérite revient à Jane Austen. Ces scènes sont formidablement composées.
Plaisir pleinement partagé, Daniel. Non moins croustillant, le ton policé, presque sérieux, adopté pour les répliques de Mrs Bennet et qui, par contraste, sert la caricature du personnage sans la charger. Une lecture tout en finesse.
Oh oui, Dorothée, j’ai pris un énorme plaisir à lire cette (croustillante) scène !
Excellente interprétation! La scène de déclaration de Mr Collins est un pur régal.