« Au plus profond du désert d’Arabie se trouve la cité sans nom, croulante et sans forme, ses murs bas presque ensevelis sous les sables accumulés au long d’âges innombrables.
Il devait déjà en être ainsi quand les premières pierres de Memphis furent posées, et alors que les briques de Babylone n’étaient pas encore cuites.
[…]
En moi-même, je me figurai les splendeurs d’un âge si lointain que même la Chaldée ne pouvait en garder le souvenir, et je pensai à Sarnath la Maudite, qui se dressait au pays de Mnar quand l’homme était jeune, et à Ib, qui fut bâtie de pierre grise avant que l’humanité n’existe. »
La Cité sans nom (The Nameless City) fut écrite par Lovecraft en 1921.
La plainte du vent qui ouvre et clôt le récit est issue du site Universal Soundbank.
Une lecture intense et passionnée qui m’a emporté loin, très loin derrière cette fameuse porte et m’a ainsi fait vivre intensément cette lecture ! Simplement merci…
Ainsi, vous aussi êtes passé de l’autre côté de la porte avec moi ! Que de sombres merveilles nous y attendaient ! Merci de tout coeur de votre commentaire.
Merci infiniment d’avoir traduit et interprété ce récit. L’univers de Lovecraft est richement et pourtant sobrement rendu par votre voix. Je me réjouis de tous ces autres récits que vous nous offrez. J’ai écouté avec bonheur « le temple » lu par Cyprien. Lovecraft était l’auteur fétiche de ma jeunesse, vous illustrez avec finesse toutes les nuances d’obscures de cet auteur, que mes lectures lointaines avaient juste entre aperçu, aujourd’hui, par votre réalisation, je replonge avec délice dans ces univers infernaux. Merci
Merci Pastelle,
Cela faisait bien longtemps qu’on n’était venu me laisser un petit mot dans cette cité sans nom !
Merci à vous de ces encouragements. Je serai heureux de vous retrouver également en compagnie de Randolph Carter, d’Aseneth White et de Nahum Gardner !
Et n’oubliez pas les incontournables lectures de Jean-Luc Fischer, son “Affaire Charles Dexter Ward” est un chef-d’oeuvre.
Merci cher Luc de Sailly 🙂
Heureux de vous retrouver pour cette seconde écoute 🙂 C’est très gentil à vous de me laisser ce petit commentaire à nouveau !
Nouvelle réecoutée hier pour mon plus grand plaisir.
Merci, cher Vincent, pour la qualité de la lecture et pour la traduction.
Lovecraft est certainement l’un des auteurs les plus difficiles à lire, car comment traduire dans la voix l’indicible ?
Vous le faites avec justesse et retenue, c’est glaçant.
merci encore.
Merci Luc de ces encouragements !
Il me faudra alors acquérir une copie du Nécronomicon auprès d’un antiquaire sans âge de Klausenburg, et commencer à traduire au fond d’une cave putride les élucubrations blasphématoires de l’arabe dément Al Azhred ! Je ne sais pas s’il s’agirait d’un cadeau pour nos audiolecteurs 🙂
Merci beaucoup d’avoir pris un peu de temps pour me laisser ce commentaire.
Merci à vous Vincent de l’Epine pour cette très bonne lecture de la Cité sans Nom.
Bravo avant tout pour l
Le texte est rendu avec toute l’émotion et les terreurs indicibles propres à Lovecraft. Un intense moment d’émotion et de poésie sombre au coeur de la terre et au bout d’incroyables éons de temps…
à quand une lecture audio du Nécronomicon ?
Merci à vous Yannick !
Je suis très heureux d’avoir contribué à vous faire découvrir cet auteur extraordinaire.
Je travaille actuellement sur la traduction de “La couleur tombée du ciel”, et Cyprien nous offrira, dans quelques jours, “Le Temple”.
En vous souhaitant de belles écoutes sur notre site !
Amicalement
Merci pour cette lecture ! je découvre l’univers de Lovecraft et vous m’y avez transporté complètement !
Merci à vous Yassine d’avoir pris le temps de me faire ce retour. Cela m’encourage à continuer à lire d’autres oeuvres de cet auteur fascinant.
C vraiment formidable tres bien lu merci infiniment