Cette troisième partie de Splendeurs et misères des courtisanes s’intitule Où mènent les mauvais chemins, et se déroule à la Conciergerie.
« En août 1844, il (Balzac) publie chez de Potter Splendeurs et misères des courtisanes, qui comprend les deux premières parties actuelles. Puis il se met à travailler à la fin du roman, dont il pensait d’abord qu’elle consisterait en une seule partie. Toutefois, après avoir visité la Conciergerie, il décide de consacrer une partie entière à décrire cette prison et le fonctionnement de la justice criminelle, afin de bien amorcer les conditions du suicide de Lucien. Cette troisième partie, intitulée Une instruction criminelle, est publiée dans L’Époque du 7 au 29 juillet 1846. Elle paraît en août 1846 dans l’édition définitive de La Comédie humaine sous le titre actuel, Où mènent les mauvais chemins. Elle est aussi reprise en volume séparé chez Souverain sous le titre Un drame dans les prisons en 1847. » (Wikipédia)
« Le lendemain, à six heures, deux voitures menées en poste et appelées par le peuple dans sa langue énergique des paniers à salade sortirent de la Force, pour se diriger sur la Conciergerie au Palais de Justice.
Il est peu de flâneurs qui n’aient rencontré cette geôle roulante ; mais, quoique la plupart des livres soient écrits uniquement pour les Parisiens, les Étrangers seront sans doute satisfaits de trouver ici la description de ce formidable appareil de notre justice criminelle. Qui sait ? »
Ainsi commence cette troisième partie… fort… instructive !
Johann Strauss, Kunstlerleben – Vie d’Artiste Op. 316, interprété par l’Orchestre Philharmonique de Vienne, dirigé par W. Boskovsky (1962, domaine public).
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