Une histoire légère (1842) où l’on retrouve les inévitables moqueries sur la conduite des femmes…, mais les maris ne sont pas épargnés :
« Le mari de la Gina… je ne puis, par discrétion, donner ni le nom, ni la qualité, ni la demeure, ni le titre, ni indiquer la fortune de cet homme fortuné, à cause de votre perspicacité ; mais je vous engage ma foi qu’il demeure entre porta Orientale et porta Romana, qu’il est entre chambellan et garde-noble, entre comte et marquis, que son nom est entre O et I, qu’il est entre le célibat et le mariage, comme tout grand seigneur doit être après sept ans de mariage, et qu’il sue sang et eau à ne rien faire. Si ses traits caractéristiques vont à trop de Milanais, la faute en est à l’Italie et non à moi. »
j’aime beaucoup vous ecoutez, merci M.Depasse,
Merci.
Merci M. Depasse.