Balzac toute sa vie fréquenta les salons et mena une vie mondaine, dont on a maints témoignages chez les contemporains, et beaucoup de caricatures. Dans La Femme comme il faut il dresse le portrait satirique de la « nouvelle » mondaine, en soulignant sa nostalgie de la femme du monde d’antan…
« Les femmes que vous verrez plus tard, ayant un peu de leur air, essayant de les singer, sont des femmes comme il en faut ; tandis que la belle inconnue, votre Béatrix de la journée, est la femme comme il faut. Il n’est pas facile aux étrangers de reconnaître les différences auxquelles les observateurs émérites les distinguent, tant la femme est comédienne. […] Chez elle, aucune femme comme il faut n’est visible avant quatre heures quand elle reçoit. Elle est assez savante pour vous faire toujours attendre. »
Portrait de femme (vers 1830).
vraimment formidable… J’espére que vous avez compris mes idées à partir de cette ennonce!
Merci M. Depasse.