Gaudissart est le type de vendeur plein de bagout qu’on retrouve dans un grand nombre de romans de La Comédie humaine. Il est devenu nom commun : on dit un gaudissart comme on dirait un « baratineur », voire un bateleur.
Cette nouvelle fait partie des « divertissements » que Balzac s’accordait parfois à titre de récréation. Mais elle ouvre tout de même des horizons sur le phénomène du commerce, des employés, des magasins, que Zola développera par la suite en exposant les prémices de la consommation de masse.
Affiche publicitaire pour le grand magasin Au paradis des dames, 10 rue de Rivoli à Paris (2e moitié du XIXe siècle).
Frédéric Chopin, Mazurka in D major, Op. 33 no. 2, interprétée par Christoph Zbinden (licence Cc-By-3.0).
Je vous en prie, Sid.
nous vous remercions toujours chere pomme .merci.
Moi aussi, Le Barbon, bien que son génie soit inégalement réparti…
Merci, dame Pomme, tout ce qui vient de Balzac m’intéresse.
Ravie pour vous, chère Fraise!
Merci encore chère Pomme, en voilà une petite nouvelle bien amusante. Ah ces Anglaises 😉 Comme j’ai bien ri 🙂
A Christophe: une autre encore arrivera très vite! A mon plus grand plaisir.
Merci vraiment, Pomme, pour cette nouvelle, qui à l’air bien divertissante. Je m’en vais l’écouter de ce pas, avec hâte !
Christophe