Quand il parut en 1851, Moby Dick, le roman de l’écrivain américain Herman Melville n’eut aucun succès. Cent ans plus tard il devint un livre mythique d’aventures qui explore les profondeurs de l’âme humaine et fut souvent adapté au cinéma. Moby Dick, l’héroïne, est le nom d’une baleine blanche, qui, après avoir reçu dix-neuf harpons, aurait causé la perte de trente hommes, cinq baleinières et quatorze canots.
Le narrateur au nom biblique, le jeune Ismael, attiré par la mer et le large, s’engage à New Bedford à bord d’un des navires baleiniers du port. Le sort lui donne pour compagnon de lit Quîqueg, un Polynésien dont les rites le surprennent, depuis qu’il a passé auprès de lui sa première nuit dans un hôtel minable.
De ce très long roman de 135 chapitres, seuls les sept premiers, groupés sous le titre Une nuit à l’hôtel de la baleine ont une traduction légalement publiable que nous vous offrons.
Bonsoir Christine,
Je vous remercie de votre réponse.
Mes félicitations pour le magnifique travail que l’équipe de Littératureaudio.com réalise depuis déjà quelques années.
Cordiales salutations,
Francisco
Bonsoir Francisco :-),
Nous n’utilisons sur Littératureaudio.com que des traductions appartenant au Domaine Public. Or seuls ces quelques chapitres traduits par Théo Varlet sont bien libres de droits. Les autres traductions de Moby Dick sont plus récentes et ne peuvent être enregistrées pour notre site.
Nous n’en savons pas plus concernant cette fameuse traduction de Varlet, que ce qui figure en note de bas de page sur Wikipédia… 🙁
Désolés de ne pouvoir vous aider davantage.
Bonne soirée,
Ch.
Bonjour,
Je prépare présentement un billet au sujet de cette traduction de Théo Varlet qui sera publié dans mon blog https://lemasduchemineau.com.
Dans votre billet, vous semblez indiquer que la traduction de Moby Dick effectuée par Théo Varlet au début des années 1930 a une existence réelle mais qu’elle n’est pas légalement publiable, exception faite de ces chapitres que vous donnez ici.
Or cette traduction a été considérée jusqu’ici comme irrémédiablement perdue suite au décès de Théo Varlet en 1938 et les années troubles qui se sont succédé. Disposez-vous de renseignements pouvant m’éclairer à ce sujet?
Merci à l’avance,
Francisco
Cher Monsieur,
je vous adresse un grand merci pour nous offrir ces textes. C’est une grande joie de pouvoir les lire grâce à vous et vous les transmettez si bien.
cordialement
Pourquoi ne sont elle pas publiables légalement? quel dommage!
Merci René pour cette précision, je n’ai pas lu le billet en entier. c’est dommage. Bonne continuation.
Lisez le billet,Amandine,et vous apprendrez que les 135 chapitres ne sont pas publiables légalement .Regrets
Est ce que la version complète est prévue ?