On ne présente plus H.G. Wells que ses romans La Guerre des mondes ou L’Homme invisible ont rendu célèbre. Son talent s’épanouit aussi dans un certain nombre de nouvelles ; dans celle-ci, il nous convie à partager une soirée d’été baignée d’une chaleur particulière…
« C’était une de ces chaudes soirées d’été, où le soleil attardé cercle de pourpre les lourds nuages épars dans le ciel. Ils étaient assis près de la croisée ouverte, comme pour y chercher un peu plus de fraîcheur. Dehors, pas une feuille ne bougeait dans les masses sombres des arbres et des buissons du jardin. »
Philippe-Jacques de Loutherbourg ,Coalbrookdale de nuit (1801).
Claude Debussy, Sonate pour violoncelle, prologue, interprétée par Paul Pitman et Bang-Eun Lee (domaine public).
Merci Sautillant pour les intéressants prolongements que vous donnez à ma lecture. En effet, la thématique n’est pas forcément originale mais la nouvelle m’a paru digne d’être publiée.
Bien à vous.
C.Dousset
Ps
Un sujet qui a fait couler beaucoup d ‘ encre… et de sang !
Des histoires dans ” LE DECAMERON “…
Une en particulier… dans laquelle le mari trompé fait manger à son épouse infidèle… sans qu’ elle sans doute… le coeur de son amant… accommodé sublimement par le cuisinier du château… elle s ‘ en pourleche les babines !
Ici il aurait été trop cuit… carbonisé !
Christian DOUSSET… Bonsoir !
Mon ❤️ ne veut pas apparaître ! Il faut croire que je vous l ‘ ai déjà donné par avance… avant d’ ecouter ! C ‘ est ça la foi !
En vérité… il est davantage pour votre lecture
… agrippante… que pour l’ histoire de WELLS… trop vite prévisible … Vous nous serrez le bras… à nous faire des bleus… et nous entrainez de force sur ce chemin d ‘ horreur… Brrr… La coincidence veut que j’ aie écouté… il y a peu… une histoire de CONAN DOYLE sur le même thème… l ‘ horrible veangeance d’ un mari… ou d ‘ un fiancé trompé… ” De nouvelles catacombes “… de longueur identique… Tout aussi sadique… mais… de mon point de vue… plus… ” litterairement “… contée…
Je ne sais si elle figure au catalogue de ” LA “… sinon elle pourrait vous tenter…
Avec toute ma reconnaissance et mes felicitations…
Mon cordial salut…
Merci.
Merci surtout à vous, chère Gaëlle, de m’avoir proposé la lecture de ce texte.
A très bientôt.
Christian
Cher Christian,
J’étais certaine que vous sauriez admirablement rendre ce texte, dans sa noirceur et sa fascination pour la fournaise ! Un grand merci !
Gaëlle