Dans les années 1880, trois Anglais s’aventurent dans des contrées inconnues de l’Afrique du Sud, à la recherche de Neville Curtis, parti en quête des fameuses mines de diamants du roi Salomon. Conduit par Allan Quatermain, le groupe d’aventuriers doit affronter de multiples dangers avant de trouver une contrée perdue, celle des Kouokouanas, dirigée par le tyran Touala et la sorcière Gagoul. Mais qui est le mystérieux Umbopa qui suit l’expédition depuis le départ ? Et comment les aventuriers sauront-ils se sortir des situations les plus périlleuses et gagner la confiance de la population opprimée par Touala ?
Traduction : C. Lemaire (1888).
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Illustration :
Riou, couverture de Découverte des mines de Salomon (éd. Hetzel, 1888)
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Livre audio gratuit ajouté le 15/05/2019.
Merci bcp pour cette lecture, qui fut à la fois agréable et… instructive, voir déconcertante. Car, en effet, comme souvent avec les classiques maintes fois adaptés par d’autres médias (cinéma, BD, etc…) c’est étonnant de constater comme le texte d’origine diffère de la vision donnée par le cinéma. Ainsi, j’ai été surpris que Quatermain soit lui-même le narrateur de l’histoire et qu’il ne m’apparaît pas ici comme le grand Aventurier intrépide (façon Indiana Jones avant l’heure) que nous a montré le cinéma (que ce soit avec Stewart Granger ou…hum… les deux nanars avec Richard Chamberlain ^^ ou même Sean Connery dans La Ligue des Gentlemen Extraordinaires) mais avant tout un chasseur (d’âge mûr par ailleurs) embarqué dans une aventure qui semble parfois le dépasser un peu.
Le passage où il pleure (?) sur l’épaule de Sir Henry – qui d’ailleurs semble davantage correspondre à l’image de l’Aventurier sans peur, ne serait-ce que dans le passage de son combat avec le roi Touala – est assez édifiant à ce sujet.
C’est curieux, un peu démythifiant mais comme je l’ai dit instructif 😉
Deux autres détails qui m’ont interpellé : le fait que Sir Henry semble oublier pendant une bonne partie de l’aventure sa motivation première (retrouver son frère, ce qui est réglé de manière un peu facile à la fin) et cet inénarrable Good qui réussit apparemment l’exploit de garder son monocle à sa place malgré tant de péripéties mouvementées 🙂
Soit. Merci encore pour cette découverte et ce… recalibrage dirais-je.
parfait
bonne recuperation alors
Oui, fabrice, Martin Numa 11 sera la prochaine publication !
je ceux dire satie bien sur Martin numma
ohhh…ne retardez pas leon statue pour autant
Il existe, en effet, une suite d’une cinquantaine de pages, fabrice. Je la programme après m’être débarrassé d’une pharyngite récalcitrante !
bonjour
pourrais t on souhaiter les suites d allan quarterman…..
comme d habitude lecture et timbre parfait
salutations
Je prends note de l’intérêt que vous portez à ce genre, Vincent. Avez-vous essayé Louis Garneray ?
Merci et continuez à nous lire des récits d’aventures un peu anciens.
Et chaleureusement, moi aussi, Cécile, je vous remercie de votre petit mot !