Chute et rédemption d’une jeune femme outragée dans la Russie de la fin du XIXe.
Le début :
« Le jour baissait rapidement ; déjà les allumeurs de réverbères couraient de côté et d’autre, s’acquittant de leurs fonctions. Le ciel bleu pâle semblait encore garder la lumière du jour, pendant qu’une buée légère descendait sur le sol. Il faisait un froid splendide, – sec, clair, sonore : l’air apportait l’écho lointain des bruits vagues de l’hiver ; la neige, fortement tassée, craquait sous le pas, et faisait crier au tournant des rues le fer des traîneaux ; tout avait cette apparence propre, froide, serrée et joyeuse des jours de grande gelée. Une étoile piqua soudain le ciel pâle, et aussitôt les constellations se dessinèrent au-dessus des maisons, dans l’éther limpide et subtil. Le thermomètre marquait dix-huit degrés Réaumur. »
Les Épreuves de Raïssa
Chap. 01 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 02 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 03 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 04 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 05 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 06 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 07 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 08 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 09 – Les Épreuves de Raïssa
Chap. 10 – Les Épreuves de Raïssa
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Livre audio gratuit ajouté le 24/06/2017.
Pour la fête de la musique
Juste pour l’ambiance
Si vous sifflez les filles façon
“el carretero”de Buena Vista Social
Je vous garantis que les mots vous paraîtront
superflus…
P.S.”Du Morricone vrai!”
Doit être
-bien sûr-
décalé sur la droite
pour équilibrer le Tout.
Comme je suis loin d’être poète
L’inspiration me fait défaut
Et je n’ai rien en tête
Pour répondre à vos mots !
P.S. En honneur de Justice
Il fallait être en lice
Complétant en délice
Certains de nos supplices…
Western spaghettisé
D’un saloon où entrer
Par un carreau l’été
Pour quelques pistoles et
Une gueule à casser
La Justice nous fait
Du Morricone vrai!
Aurore Boréale, je vous adore !
Pour les ânes bâtés
Indulgents donc soyez!
Voyez nos bourriquets
Le pays jalonner!
Et nos avocats nés
Pas tous de l’équidé!
Ni même de l’équité
Il faut bien l’avouer!
Que le métier tissé
Sur de bons vieux rouets!
Nous fait bien toussoter
D’un zèle dévoué!
A nos becs trop clouer
De force ou bien de gré!
Je dois un million de remerciements à Christine, qui va rectifier tout ça.
Ma version pdf était erronée. Il manquait deux pages…Je suis l’âne le plus bâté du monde ! Vous êtes tous autorisés à me faire un procès, c’est évident, mais je vous préviens néanmoins, mon avocat s’appelle Dupont-Moretti !
Votre découverte, Magali, est très intéressante. Pourriez-vous les reproduire ici, avec les références éditoriales ? Je suis très curieux de lire ces lignes et serais prêt à les rajouter.
Je pense qu’il manque une dizaine de lignes à votre dernier chapitre, j’ ai trouvé une fin à ce livre dans la dixième édition Plon.
Vos lectures me ravissent toujours autant.
Ok ! Je cherche !
La fin abrupte secoue tout le monde. Enfilez donc une tenue genre Sherlock Holmes, Elisabeth, et faites nous une enquête à ce sujet !