Encore un sublime portrait de femme (adultère, vraiment ?) de la grande Alice Marie Céleste Durand dite Henry Gréville.
Barvey d’Aurevilly a dit d’elle : « Elle a la pureté de la plume, cette chose maintenant plus rare que le talent. »
« Gabrielle baissa les yeux sur son assiette et cessa de manger, car elle n’avait plus faim. Les deux heures qui la séparaient du repos lui parurent longues. Prétextant un malaise, elle s’était réfugiée dans sa chambre, sa grande chambre lambrissée de chêne, haute de plafond, sombre de couleur, où la clarté des bougies n’éclairait qu’un petit espace relativement à l’ampleur de l’appartement. Étendue sur son grand lit d’apparat, auquel on arrivait par un marchepied, elle pleurait silencieusement, le visage caché dans son mouchoir pour étouffer ses pleurs, quand le marquis entra enfin, fredonnant un air d’opéra. »
Berthe Morisot, Jeune Femme assise devant la fenêtre (1879)
Bonne et réjouissante nouvelle !
Tout comme Lyse, j’attends impatiemment « L’amie ».
Merci pour votre travail, fort apprécié !
Me demande si j’ai bien fait de l’annoncer si tôt… Allons, c’est jouable ! A bientôt chère Lyse !
Je me réjouis déjà de faire la connaissance de “L’Amie” de la
“Céleste Dame Gréville”. (❀◕◡◕)
Lyse ❣️
Merci à vous, Sandrine !
Je vais programmer “L’Amie” de Madame Gréville pour le mois d’août.
Un grand merci pour la lecture de ce passionnant roman.
Au plaisir de vous écouter pour d’autres aventures.
Sandrine