À l’origine, la Loreleï apparaît dans une ballade
du poète rhénan Clemens Brentano (1778 – 1842).
À la fin du XIXe et au début du XXe siècle,
des poètes perpétueront le mythe de la Loreleï,
passant d’un fantôme à une femme fatale.
Elle nous sera surtout connue à travers le poème
de Guillaume Apollinaire, La Loreley,
traduction/adaptation du poème de Brentano,
ou encore dans Lorely de Gérard Labrunie
(dit Gérard de Nerval)
lors du récit de son voyage sur les bords du Rhin.
Pour une écoute plurielle :
Guillaume Apollinaire – La Loreley
et Philippe Martineau – Lorelei.
Die Lorelei de Franz Liszt
avec le soprano Yelena Dudochkin
et le NEC Youth Symphony, sous la direction de Steven Karidoyanes
et avec Joan Sutherland.
La version pour piano avec Vadim Chaimovich.
Traduction : Gilles-Claude Thériault.
Merci pour la lecture!Cette ballade est belle en toute langue !