Dans ce roman, Hector Malot aborde le problème de la naissance d’un enfant hors mariage, dans le milieu de la noblesse.
Ghislaine, orpheline, est élevée par son oncle et tuteur, le comte de Chambrais. Son professeur de musique, Nicétas, est amoureux d’elle. Ghislaine ne répond pas à ses avances car elle aime le comte d’Unières, qu’elle regarde comme son fiancé. Furieux de cette indifférence, Nicétas s’introduit un soir dans la chambre de Ghislaine et la viole. C’est le début d’un problème, terrible à cette époque, où le « bâtard », comme on l’appelait alors, était considéré comme une honte pour sa mère et pour toute sa famille, au point que certaines jeunes filles préféraient la mort au déshonneur et à la ruine de leur vie.
Franz Xaver Winterhalter, Étude de jeune fille de profil (1862).
Chère Dominique
Nous avons eu la même idée! Comme vous, je savoure le soir, sur mon lit, avec un agréable petit courant d’air, les lectures de mes collègues. Et, dans la journée, bien sûr, il fait chaud, mais c’est tous les étés la même chose, un peu plus tard cependant. Il suffit de prendre quelques précautions et de patienter.
Je suis très heureuse que nous ayons passé quelques belles heures en compagnie d’Hector Malot. Je suis en train d’enregistrer un autre de ses romans, qui sera publié le mois prochain. Nous sommes plusieurs à apprécier ses œuvres.
Merci beaucoup pour votre si aimable et encourageant commentaire. Je suis très sensible à ce retour.
A bientôt, j’espère.
Amitiés
Cocotte
Merci une fois de plus pour m’avoir permis de passer un moment très agréable en votre compagnie, en celle d’Hector Malot et bien entendu en celle de Ghislaine chère Cocotte. J’espère que vous ne souffrez pas trop de la chaleur. Quand à moi je savoure les lectures de littérature.audio.com en soirée sur mon lit avec un délicieux petit courant d’air.
Un très grand merci, chère Elisabeth, pour votre si aimable et encourageant message. J’en suis très touchée.
Tout ce que vous dites est très juste. Vous analysez parfaitement tous les romans.
A bientôt, j’espère. C’est toujours un grand plaisir de voir vos commentaires.
Amitiés
Cocotte
Merci chère Cocotte, de la lecture de ce très beau roman. Il est en effet passionnant, au coeur de la dramaturgie propre au XIX é siècle et à sa condition juridique des femmes et des enfants, et de la forme des dilemme et souffrances morales et psychologiques qui s’en suivent. Merci beaucoup de donner vie à toute cette complexité.
Amitiés
elisabeth
merci beaucoup, chère Christine, pour cet encourageant commentaire. Venant de vous, il me touche beaucoup et me fait un très grand plaisir.
Après une absence de quelques mois, je suis heureuse de vous voir de retour parmi nous.
Il me tarde d’écouter “Le roi Lear” lundi! Un beau et bon moment en prévision, en compagnie de Shakespeare. Vos lectures de pièces de théâtre me manquaient.
Amitiés
Cocotte