Cette désuète mais non moins délicieuse nouvelle de la comtesse Roger de Martel de Janville, alias Gyp (1849-1932), est parue dans la revue La Vie parisienne en 1884.
Le début : « En épousant mademoiselle Diane de Volo, le duc Hugues de Vyéladage avait mis au mariage les conditions suivantes : sa femme habiterait avec lui toute l’année le château des Futaies et aurait autant d’enfants qu’il lui plairait, à lui, d’en avoir. Très jaloux, il interdisait formellement la danse et les robes décolletées. Il ne permettait pas non plus la chasse à cheval. C’était, à certains points de vue, un exercice malsain pour les femmes et, de plus, comme il tenait à surveiller ses chiens et ses piqueux, il ne pourrait pas surveiller sa femme et n’aurait pas un instant de tranquillité.
La belle Diane, amoureuse de l’argent, du luxe et du plaisir, avait accepté ces conditions les yeux fermés.
Elle ne voulait qu’une chose : épouser M. de Vyéladage et son immense fortune. »
Cette lecture est dédiée à Carole.
Et bien, en voilà une drôle de nouvelle… et bien joliment servite !
Je sais, surtout, que Carole mérite la dédicace !
Si vous saviez, Jean-Pierre, à quel point je ne mérite pas votre qualificatif !
Vous Êtes un sage, Daniel. Nous devrions tous dédier nos lectures à Carole !
Merci 😉