Sur fond d’intrigues, d’adultères, de scandales financiers et de délits d’initiés, aucun personnage n’est vraiment épargné…
Georges Duroy n’est pas le pire et est tellement irrésistible !!!
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Remarques :
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Illustration :
Jean Béraud, La Soirée, Autour du piano (1880), Détail. Musée Carnavalet, Paris.
Références musicales :
Camille Saint-Saëns, Danse Macabre Op040, interprété par Paul Rouger et l’Orchestre Symphonique Français, dirigé par Laurent Petitgirard (avec l’aimable autorisation de M. Petitgirard).
Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 10/09/2011.
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Alors là, chère Pomme, vous m’avez (encore et toujours 😉 vraiment gâtée 🙂
Je voulais quelque chose de plus léger avant de m’attaquer à la relecture de l’Assommoir et j’ai passé un week-end fort agréable avec Maupassant et vous.
Je dois dire qu’on entend que vous vous êtes beaucoup amusée en compagnie de notre bel ami 🙂
J’aime bien votre “cynique à souhait”! J’en déduis que vous avez apprécié. Comme moi!
Merci chère Pomme. C’était cynique à souhait
Je ferai attention! Bonne journée!
Bonne dégustation, Giorgio! Mais attention, Georges Duroy peut devenir parfois, dans certaines bouches (ou oreilles), quelque peu indigeste!
Merci beaucoup! Je vais savourer Maupassant grace a Vous (je suis italien). Bonne journée!
Oh lala! Fabien, comme vous le détestez ce Georges Duroy!
Ah mais vous avez tout à fait le droit d’aimer un “macho-salaud”,il est vrai que c’est un “vrai” mâle.
Il a apprit à dire, tout comme les Cacatoès, ce que les femmes aiment entendre…et sentir.
Au premier degré, l’on peut prendre cela pour du romantisme…Mais la chute est brutale avec ce type de mufle.
Mais enfin, les goûts et les couleurs ne se discutent pas.
Tous les qualificatifs que vous lui donnez, Fabien, lui conviennent, c’est vrai! Et pourtant … je l’aime!