« Il venait tous les jeudis passer la soirée chez la châtelaine, et ils s’étaient liés, d’une bonne et franche amitié de vieillards. Ils s’entendaient presque sur tout à demi-mot, étant tous les deux bons de la simple bonté des gens simples et doux.
Elle insistait : “Voyons, monsieur le curé, confessez-vous à votre tour.” […] »
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Illustration :
Références musicales :
Robert Schumann, scenes from childhood, op. 15
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Livre audio gratuit ajouté le 17/02/2010.
Bravo à vous deux
jeannedelaville
Merci Pomme, merci Jean-Luc; Je passe toujours un bon moment en voytr compagnie.
Didier Pilette – México City.
De l’émotion réelle et sobre, sans effets ridicules… C’est vraiment bien, mais avec un petit goût de trop peu!
Bis!
Merci à vous 2 pour ce joli texte tout plein de justes émotions. Bravo pour votre si juste diction à tous les 2. Encore ?
Merci à tous pour vos gentils compliments qui nous touchent beaucoup.
C’est en effet une nouvelle très émouvante que nous avons lue et un peu inhabituelle dans la mesure où Maupassant est souvent incisif et anticlérical.
Jean-Luc et Pomme.
bonjour a vous deux
cette lecture à deux voix une merveille
encore encore et surtout merci pomme merci jean luc
daniel
bonjour et merci
pour le réveil de nos émotions.
tant de sensililité, merci de nous faire partager ces textes qui sont loins de nous, dans ce monde de violence. merci encore
Excellente idée que cette lecture à deux voix. Encore merci.
Claude
Merci pour ce beau récit très bien raconté par ces deux narrateurs l’homme semble affaibli par un manque affectif l’enfant loin de ses parents est fragilisé et où puisera t-il ses souvenirs pour plus tard. Très belle histoire. Louise
Merci pour ce chef d’oeuvre de Guy de Maupassant si humain terriblement humain et si sensible
Merci également pour la diction des deux narrateurs
Il est bon quelle que soit l’époque d’avoir la joie de pouvoir ouvrir un peu les ” écluses des larmes de nos coeurs déchirés et meurtris”
Celà n’est pas désuet, on pense bêtement que des sentiments si purs sont typiques de la Belle Epoque” Non il y a autant voir plus en 2010 de gens terrorisé par la vie.Une triste vulgarité de l’âme leur interdit de se confesser, par orgueil? par bravoure?
L’homme est grand quand il dévoile sa fragilité car la douleur bien canalisée amène à l’humilité, la soumission et la résignation devant la fuite du temps
Ici il pleut dans mes yeux et sur les vitres car ce texte adhére totalement à mes infirmités morales qui bien qu’atroces sont à long terme bénéfiques même si celà parait mièvre et puéril pour certains coeurs de métal