Au troisième siècle avant Jésus-Christ, pendant les guerres puniques entre Romains et Carthaginois, Carthage avait fait appel à des Mercenaires qu’elle ne pouvait payer. Ces derniers se révoltèrent alors, sous la conduite du Lybien Mâtho et du Grec Spendius, les Carthaginois ayant alors pour chefs Hannon, puis Hamilcar, père de Salammbô. Le roman raconte, sur fond religieux du culte des dieux Kabyres et de l’amour-haine de Mâtho et de Salammbô, les victoires et les défaites alternées des deux camps…
Flaubert disait de son oeuvre: « D’un bout à l’autre, c’est couvert de sang » et George Sand lui écrivait : « C’était monstrueux, cette Babylone africaine, ce monde punique, atroce, ce grand Hamilcar, un scélérat, ce culte, ces temples, ces batailles, ces supplices, ces vengeances, ces festins, ces trahisons ; tout cela, poésie de cannibales, quelque chose comme l’enfer du Dante. »
Jean-Paul Sinibaldi, Salammbô (1885).
Bravo Pauline !
Je sens que cela va être beau et sensuel !
Eh oui ! C ‘ est le Printemps JPB ! Et on sait quel puissant effet il a sur vous !