La Tour des hiboux

La vie d’aventures de Gustave Aimard (1818-1883), contemporain de Paul Féval et d’Eugène Sue et aussi populaire qu’eux, est un vrai roman… comme la soixantaine qu’il a publiés (cf. l’article de Wikipédia).

Il est surprenant d’entendre un pareil bourlingueur invité à raconter une histoire au début de La Tour des hiboux répondre :

« « Messieurs, » répondis-je en cherchant tant bien que mal à parer la botte qui m’était portée, « je ne sais réellement quoi vous dire ; mon existence s’est toujours écoulée si calme et si tranquille, que, dans toute ma vie passée, je ne vois pas un fait qui soit digne de vous être rapporté. » »

Le dénouement vous surprendra-t-il, vous aussi ?