« Savoureux portraits d’hommes, saisis au vol par le stylo vagabond d’un écrivain en maraude, sensuel et gourmand. »
Cette 1ère série de portraits masculins de Gil Pidoux commence par la lecture de la quatrième de couverture de son livre Singulier pluriel, composé de cinquante « courts métrages » clandestins, suivie ensuite par la lecture de quatre de ces portraits : Le Papa, L’Homme des pierres, Le Fromager et Dudu des îles.
Je remercie infiniment Gil Pidoux, qui a consenti avec amabilité et générosité à la publication de quelques uns de ces courts métrages, publiés dans son recueil Singulier pluriel. Avec l’aimable autorisation des Éditions Publi Libris.
Special Quartet, Fátima, extrait de l’album Namouche (avec l’aimable autorisation de Javier Alcántara, compositeur, interprète et producteur de l’album).
Exact Esperiidae ! Toulouse-Lautrec a représenté une seule fois son ami Van Gogh, de profil, attablé à une table de bar, pensif. A mes yeux, c’est l’un de mes portraits préférés de Vincent, délicieusement pastellé de traits vifs dans ce style rapide qu’affectionnait le petit homme, et très grand peintre, Toulouse-Lautrec.
Je t’attends demain sans faute.
Gil Pidoux, qui déclare lui-même « je suis un tendre voleur » en parlant de ces insolites portraits, entre dans le sanctuaire de ses personnages et les croque, avec sa plume, dans leur intimité un peu comme Daumier ses personnages, c’est vrai. Je ne voyais pas trop à quoi ressemblait le travail de Touloise-Lautrec, j’ai remarqué qu’il y avait un article sur lui sur ton blog, que je vais lire. Mais aussi, en en cherchant plus sur lui sur internet, j’ai été guidée jusqu’à ton billet du 20 février 2010 « Van Gogh à Auvers – 27.Un 14 juillet », et découvert qu’il avait fait une caricature de van Gogh !
Demain à 18h00 devrait paraître la seconde partie de « Singulier Pluriel », avec une nouvelle série de caricatures tout aussi savoureuses :-).
Merci de ton écoute et pour ce commentaire.
Curieuses notes « campées dans le vif de l’instant », anecdotes rapides restituant un instant de vie fugace. Je repense au peintre Daumier et ses caricatures croquées dans l’instantané, ou celles de Toulouse-Lautrec montrant sans pudeur ses amies pensionnaires de bordels.
Les mots et ta voix font de ces petites touches de vie des moments que l’on aimerait savourer plus longtemps.
Yvette, à mon tour de te remercier, pour ton écoute et ce commentaire que j’ai plaisir à recevoir.
Guy, je vous remercie infiniment. Je suis très touchée par votre commentaire. Lire votre plaisir à écouter la beauté des textes de Gil Pidoux et le plaisir que je prends à les lire, est vivement encourageant. A bientôt!
Encore merci à vous deux, ainsi que mes remerciements réitérés à Jarovey!
Votre voix, doucement grave, est déjà une très belle offrande dont je vous remercie. Le texte brille de gentilles petites perles que vous savez mettre en valeur par une articulation très soignée, et une « mise en scène » au service d’une tonalité des plus diverses. Merci, dans l’attente de la suite.
superbe !!
belle écriture,
nouvelles merveilleusement lues
merci
Bonjour Esperiidae
J’espère,oui,à très bientôt.
Bonjour Jarovey,
Merci pour cette appréciation et ton écoute fidèle.
A bientôt!
encore, encore!
c’est toujours un régal !
Merci Esperiidae et Gil