Une fois de plus Venise sert de cadre à cette histoire tragi-comique dont la fin est inattendue.
« Mattea, était une fort belle créature, âgée de quatorze ans seulement, mais déjà très-développée et très-convoitée par tous les galants de Venise. Ser Zacomo (son père) ne la vantait point au delà de ses mérites en déclarant que c’était un véritable trésor, une fille sage, réservée, laborieuse, intelligente, etc., etc. Mattea possédait toutes ces qualités et d’autres encore que son père était incapable d’apprécier, mais qui, dans la situation où le sort l’avait fait naître, devaient être pour elle une source de maux très-grands. Elle était douée d’une imagination vive, facile à exalter, d’un cœur fier et généreux et d’une grande force de caractère… »
George Sand, Œuvres illustrées de George Sand volume 7 (1854).
merci René pour cette lecture de george sand que j’incrit moi aussi comme Marie dans mes favoris . bien amicalement … georges
Cher René,
Merci infiniment pour ce Georges Sand qui compte
parmi mes favorits.
Tu t’étonnerais que je ne relève aucune amélioration à apporter à cette lecture…
c’est pourquoi je me permettrai de te conseiller d’articuler davantage…et de ralentir un tantinet
dans les phrases un peu longues.
Il demeure un plaisir non-dissimulé à entendre ta chère voix.
Passe un bel été ! Affectueusement, Marie