« À la Ferme du Manoir, le vieux Major, un vénérable cochon, décrit aux autres animaux un avenir meilleur, où ils seront débarrassés de l’oppression humaine et ne travailleront plus que pour leur propre bénéfice.
Pour cela, ils doivent participer à la Rébellion, qui renversera les humains et installera la République des Animaux. Mais tout ne se passe pas comme ils l’avaient imaginé…
Les péripéties des animaux dans leur lutte pour la liberté mettent en lumière les mécanismes qui pervertissent les idéaux originels et permettent l’avènement, petit à petit, d’une nouvelle domination. » (Source – Editions Renard Rebelle)
©Bruant d’Almeval 2024, montage d’après Monogrammist JVR (entre 1600 et 1650), Paul Delaroche (1797–1856) et Eduard von Gebhardt (1838–1925) (Domaine public pour les trois)
Introduction et chapitres : Lobo Loco – Wag that Blues (ID 2195) (licence CC BY-NC-ND 4.0)
Animaux générique : La Sonothèque (Licence Creative Commons)
Conclusion : Lobo Loco – Secret Secrets (ID 2077) (licence CC BY-NC-ND 4.0)
Merci à vous pour cette lecture 🙂🎈
Un autre magnifique classique ! “La ferme des animaux” fait partie, à mon goût, de ces livres qu’on apprécie plus encore lorsqu’on en connaît la fin. On voit au fur-et-à-mesure s’installer une société identique ou presque à celle de “1984”… Un grand merci !
Merci pour ce commentaire, Maymadass ! Je partage votre avis concernant ces livres qui ne perdent rien à être relus, malgré qu’on en connaisse le dénouement, que le temps ait passé sur nous, sur eux, sur la société… Incontestablement, “La Ferme des Animaux” fait partie de ces joyaux !
En revanche, contrairement à vous et bien que je retrouve le style d’Orwell dans ” 1984″, je pense que ce dernier ouvrage et le conte présenté ici diffèrent radicalement dans leur approche.
En effet, dans “La Ferme…”, Orwell s’inspire de faits déjà advenus et dont il a pu constater à la fois les circonstances et les conséquences (le stalinisme). Des faits contemporains pour lui, documentés par des articles de presse, la restitution d’autres auteurs… Pour “1984”, la chose est différente, il ne transcrit plus cette fois des évènements historiques sous le mode de la satire et de la fable animalière, mais, partant de ce qu’il constate dans l’actualité politique, sociale et économique qu’il vit, il envisage une projection (en retenant les hypothèses les plus sombres) dans un avenir qui lui est lointain.
Deux visages de la dystopie assez distincts, finalement, mais qui visent pareillement à alerter la lectrice et le lecteur. Et qui sont tous deux absolument efficaces !
Excellente satire sociale intemporelle et malheureusement toujours d actualité.
Bravo à Bruant ! Voix et narration impeccables.
Merci Lyzac ! Vous avez, ô combien, raison et malheureusement, je crains que ce roman ne reste d’actualité trop longtemps !
À SAUTILLANT.
Si j’avais tenté de tourner mon «pouce vers la terre», j’aurais au moins cité d’autres fautes (voyez du côté de la syntaxe des négations), puis j’aurais fait une petite liste des incohérences d’Orwell.
Pour ma part, je n’ai jamais craint qu’on souligne les défauts de mes modestes œuvres, je les sollicite — et même toujours avidement : il y a mille choses qui passent inaperçues des auteurs (sans parler de ce que certains auteurs ignorent en matière de syntaxe, de lexique,…) ; faut-il les laisser dans leurs barbarismes, voire dans leurs contresens pour la raison que leurs œuvres sont gratuites et qu’elles leur ont demandé un long travail ?
Bebert la Regie… Bonsoir…
Vous avez mille fois raison de me reprendre !… Tout ceci… n ‘ est qu’ un malentendu !…
Je suis intervenu… sur cette page… où BRUANT s ‘ adressait à vous… mais mon propos ne vous visait pas !… J’ avais en tête… le message goujatier… d ‘ un autre auditeur… qui… un ou deux jours… avant votre sourcilleuse leçon de grammaire… avait apostrophé COCOTTE… de la plus impolie des manières !… J’ allais d ‘ ailleurs le préciser à BRUANT… et j’ y ai renoncé… pour ne pas alourdir cette page… Quant à vous… pas de quoi fouetter un chat…
Vous y êtes allé du… pan sur les doigts… d ‘ un sévère instituteur… en gardien jaloux des règles de notre subtile langue… et je n’ ai rien à y redire !… C ‘ est très honorable et très sympathique… Simplement… avez-vous… peut-être… été trop lapidaire… dans la façon de dire la chose… ce qui a manifestement froissé BRUANT… même si… dans un message précédent… vous lui aviez exprimé… tout le bien… que vous pensiez de sa lecture…
Ce n ‘ est pas grave…
Ma franche poignée de main…
Ps il y a quelques mois… j’ ai suivi le lien… que vous venez d ‘ indiquer de nouveau… et je n’ ai pas bien saisi… de quoi il retournait… S ‘ agit-il de vieilles chansons… que vous interprétez… ou d ‘ un choix d ‘ airs que vous aimez ?…
Bien à vous… cher grand-père de la grammaire *!… 😉…
Merci, Sautillant, vous avez dit ce qu’il fallait dire… et c’est un point important!
D’une part, il faut tenir compte du travail des bénévoles et d’autre part il faut bien mentionner ce qui ne va pas et qui peut s’améliorer ultérieurement.
Vous avez dit les choses avec justesse et intelligence… je vous en sais gré.