Difficile d’imaginer un dialogue plus misogyne sur la vertu (fausse ! ) des femmes ; il est vrai qu’il est tenu par deux ivrognes… Sous la table.
« Quand on dit que toutes les femmes sont des catins, on excepte sa mère et sa maîtresse », écrit dans ce récit, précédé d’une épigraphe rimée, Théophile Gautier qui n’a jamais été bien respectueux à l’égard des femmes comme l’attestent ces citations prises ailleurs :
« La femme qui a un mari et un amant est une prostituée pour l’un des deux, et souvent pour tous deux. »
«La prostitution est l’état ordinaire de la femme. »
« La pudeur n’est faite que pour les laides ; c’est une invention moderne et chrétienne. »
« Les femmes sont curieuses ; fassent le ciel et la morale qu’elles contentent leurs curiosités d’une manière plus légitime qu’Ève leur grand-mère, et n’aillent pas faire des questions au serpent. »
Etc…
Joaquín Sorolla – L’Ivrogne, Zarauz (1910)
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