Gaston Vassy, le journaliste plaisantin, fit paraître un jour l’entrefilet suivant dans les colonnes du Figaro :
Le Drame de la rue de la Ferronnerie
C’était en fait un canular et moult journalistes sont tombés dans le piège.
Cet autre article est aussi une probable mystification : Le Piano anthropophage.
« La victime du drame que nous avons à raconter se nomme M. Auguste Halbrand. M. Halbrand était à la fois négociant et mélomane. Comme négociant, il était semblable à tous les négociants ; mais comme mélomane, il était d’une espèce particulière. Toute sa vie, il avait rêvé d’avoir à sa disposition un instrument spécial créé par lui, fabriqué par lui, et dont personne n’aura jamais l’idée. »
Versions textes : Le Drame de la rue de la Ferronnerie, Le Piano anthropophage.
Caspar Schott, Orgue à chats (165?) Domaine public
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