Lorsqu’on est « un pauv’ peineux », condamné sans relâche à exécuter les tâches les plus répétitives (jusque dans la plus stricte intimité… !), il ne vous reste plus que l’humour, qui est bien ici, selon la formule de Boris Vian, « la politesse du désespoir ». Une fois encore, Gaston Couté nous a concocté un petit bijou de gouaille populaire en patois berrichon, bien dans l’esprit des cabarets qu’il fréquentait.
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Illustration :
Vincent van Gogh, Paysan creusant (1882).
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Livre audio gratuit ajouté le 23/07/2012.
Merci René et Jeanne. Je n’ai absolument pas peiné mais ai pris beaucoup de plaisir à lire ce poème plein d’une verve ravigotante !
Amitiés à vous deux.
Un grand merci et un grand bravo à vous Alain.
Oh que j’ai ben ri !
Merci pour nous les peineux …. ça rafraichi !
Merci Alain