Le Voyage en Italie est présenté comme un journal écrit en 1804 et comporte deux parties : Rome et Le Voyage de Naples. Ce sont soit de simples notes (liste de statues avec ou sans commentaire), soit des descriptions soignées comme l’ascension du Vésuve et l’exploration de son cratère. « Me voilà au haut du Vésuve, écrivant assis à la bouche du volcan et prêt à descendre au fond de son cratère. Le soleil se montre de temps en temps à travers le voile de vapeurs qui enveloppe toute la montagne. Cet accident, qui me cache un des plus beaux paysages de la terre, sert à redoubler l’horreur de ce lieu. Le Vésuve, séparé par les nuages des pays enchantés qui sont à sa base, a l’air d’être ainsi placé dans le plus profond des déserts, et l’espèce de terreur qu’il inspire n’est point affaiblie par le spectacle d’une ville florissante à ses pieds. »
La notice qui termine ce journal n’est pas de Chateaubriand. Écrite dix ans plus tard, elle nous éclaire sur l’état des fouilles de Pompéi à cette époque ; il faut avouer que le poète est assez avare de détails sur cette cité !
Bonsoir,
Vous avez raison, cher Ludovic, c’est bien François-René 🙂
Merci de nous avoir prévenus…
C’est corrigé 🙂
Bon week-end !!!
Ch.
Bonjour
Merci pour cette lecture. N’y-a-t-il pas toutefois une erreur dans le prénom de l’auteur? N’est-ce pas François-René, d’après le texte auquel renvoie le lien?
Grand merci aussi pour vos nombreuses et souvent si savoureuses lectures.