Livre 19 : « La jeunesse est une chose charmante ; elle part au commencement de la vie couronnée de fleurs comme la flotte athénienne pour aller conquérir la Sicile et les délicieuses campagnes d’Enna. »
Ainsi débute la Troisième Partie des Mémoires d’outre-tombe et le Livre 19.
Ici sont évoqués Napoléon Bonaparte, son origine, sa famille et l’Histoire de France :
– les journées de Vendémiaire, Octobre 1795 (le général de brigade Bonaparte sera surnommé « le général Vendemiaire »),
– les campagnes d’Italie,
– l’expédition d’Égypte,
– et, le coup d’état du 18 Brumaire, 9 novembre 1799, la fin du Directoire et le début du Consulat.
La Symphonie Héroïque, de Ludwig van Beethoven, qui accompagne cet audiolivre, fut d’abord dédiée à Napoléon Bonaparte, puis après le couronnement (2 décembre 1804), dédiée à la mémoire d’un « grand homme ».
Livre 20 : Dans ce Livre 20ème, Chateaubriand poursuit son évocation historique débutée dans le Livre 19, traitant de l’Histoire de France sous Napoléon Bonaparte.
Ici le Consulat et l’Empire.
Nouvelle invasion de l’Italie.
Le Sacre.
La bataille d’Austerlitz, celle d’Essling, celle de Wagram.
L’enlèvement du pape Pie VII.
La situation de la Pologne.
Divorce, mariage avec Marie-Louise.
Arrivée au bord du Niemen.
L’invasion de la Russie sera traitée dans le Livre 21.
« Je ne m’occupe pas d’une vie particulière de Bonaparte ; je trace l’abrégé et le résumé de ses actions ; je peins ses batailles, je ne les décris pas… » nous dit Chateaubriand.
Ce sont de très belles pages, historiques, écrites dans le style clair de Chateaubriand et émaillées de ses réflexions.
Livre 21 : Dans ce Livre 21, Chateaubriand poursuit l’évocation historique des événements tragiques de la Campagne de Russie, avec l’invasion de la Russie, la Bataille de Borodino, l’incendie de Moscou, le passage de la Beresina.
Puis ce livre se termine par le retour de Napoléon à Paris.
Chateaubriand relate avec netteté ces moments si douloureux de l’Histoire de France, avec des détails très réalistes, cette tragédie.
Livre 22 : « Toujours dans l’histoire marchent ensemble deux choses : qu’un homme s’ouvre une voie d’injustice, il s’ouvre en même temps une voie de perdition dans laquelle, à une distance marquée, la première route vient tomber dans la seconde. »
Dans ce Livre 22, Chateaubriand évoque les années 1813 à 1815.
Le 11 décembre 1813, par le Traité de Valençais, où est interné le roi d’Espagne, son royaume lui est restitué, il ne rentrera en Espagne qu’en mars 1814.
Le Pape Pie VII peut quitter Fontainebleau, le 23 janvier 1814, ses États lui sont restitués, il arrivera à Rome le 24 mai 1814.
6 avril 1814, première abdication de Napoléon ; 20 avril, les « Adieux de Fontainebleau » (illustration ci-contre d’Antoine Alphonse Monfort).
Le 18 janvier 1815, découverte des restes de Louis XVI et de Marie-Antoinette, exhumation le 19 et inhumation à Saint-Denis le 21.
« Tout est-il vide et absence dans la région des sépulcres ? N’y a -t-il rien dans ce rien ? »
Chateaubriand cite Madame de Staël et son ouvrage Considérations sur la Révolution française, ainsi que Victor Hugo et ses Odes 1, 2 et 11, publiées en 1828 dans le recueil Odes et Ballades.
Livre 23 : « Tout à coup le télégraphe annonça aux braves et aux incrédules le débarquement de l’homme. »
Ainsi commence ce Livre 23. Ce livre est entièrement consacré à la période historique en France connue sous le nom des « Cent-Jours ».
Napoléon débarque à Vallauris le 1er mars 1815 ; il marche vers Paris, c’est le « vol de l’Aigle ».
Le 18 juin 1815, aura lieu la célèbre Bataille de Waterloo, puis le 22 juin, Napoléon abdique pour la seconde fois, il sera exilé sur l’île de Sainte-Hélène.
Pendant toute cette période, Louis XVIII et sa cour quittent Paris et se dirigent à Beauvais. Puis ils s’installent à Gand. Le 8 juillet 1815, Louis XVIII regagne Paris et son trône.
Chateaubriand évoque toute cette période, lui-même se trouvant à Gand, proche du Roi.
La Charte constitutionnelle et la politique de ces années sont aussi traitées par Madame de Staël (Considérations sur la Révolution Française).
Les Massacrés de Quiberon, dont le sang est évoqué par Chateaubriand et Madame de Staël, a inspiré Victor Hugo, dans une très belle ode, Quiberon.
La fin de ce Livre 23 se termine par une conversation entre Louis XVIII et Chateaubriand.
La fin de Napoléon fera l’objet du livre suivant.
Livre 24 : « Si un homme était soudain transporté des scènes les plus bruyantes de la vie au rivage silencieux de l’océan glacé, il éprouverait ce que j’éprouve après du tombeau de Napoléon, car nous voici tout à coup au bord de ce tombeau. »
Ce très beau Livre 24 évoque le départ de Napoléon et ses dernières années, à Sainte-Hélène, « on lui donna un rocher […] d’où il était vu de toute la terre », jusqu’à son décès, le 5 mai 1821, « Bonaparte rendit à Dieu le plus puissant souffle de vie qui jamais anima l’argile humaine », puis, le retour de ses cendres, en octobre 1840.
Chateaubriand fait référence à ses livres précédents de la troisième partie, et aussi aux livres 06 et 16 (voir table des matières des Mémoires d’outre-tombe).
Lamartine, dans son très beau poème, Bonaparte, écrit :
« Son cercueil est fermé : Dieu l’a jugé. Silence !
[…]
Et vous, peuples, sachez le vain prix du génie
Qui ne fonde pas des vertus ! »
Livre 25 : « Retomber de Bonaparte et de l’Empire à ce qui les a suivis, c’est tomber de la réalité dans le néant, du sommet d’une montagne dans un gouffre… »
Ainsi commence ce Livre 25 qui relate les années 1815-1816, Chateaubriand est nommé Pair de France, il publie La Monarchie selon la Charte, un « catéchisme constitutionnel », il évoque Louis XVIII, son caractère et les favoris (« plus le favori a été bas et intime, moins on peut le renvoyer… »), la vente de sa propriété de La Vallée, un déchirement (« Je m’étais attaché à mes arbres, plantés et grandis, pour ainsi dire, dans mes souvenirs »).
Puis il évoque les années 1817-1818, Messieurs de Villèle et de Corbière, le journal Le Conservateur et l’article De la morale des intérêts matériels et de celle des devoirs (Chapitre 10), puis 1820, l’assassinat du Duc de Berry, neveu de Louis XVIII à l’Opéra (De la vie et de la mort de M. le Duc de Berry), et la vie politique qui mènera Chateaubriand à Berlin en 1821, à l’Ambassade d’Allemagne (ce qui sera relaté dans tout le Livre 26 des Mémoires d’outre-tombe).
Livre 26 : Ambassade de Berlin, tel est le titre de ce Livre 26.
Nous sommes en 1821, Chateaubriand quitte Paris le 1er janvier.
« La route fut triste : le grand chemin était neigeux et le givre appendu aux branches des pins. »
Le 17, il présente ses lettres de créances au roi, Frédéric-Guillaume III.
L’auteur évoque l’historique de la cour, la société berlinoise, messieurs de Humbold et de Chamisso, l’Opéra et le parc de Berlin, Charlottenbourg…
Il y rencontre la Princesse Frédérique, Duchesse de Cumberland, avec laquelle il entretint une belle correspondance ; la dernière lettre « portait la date du 28 septembre 1821… Hélas ! les autres nobles amies qui dans ces temps me soutenaient à Paris ont quitté cette terre… Heureux ceux sur qui l’âge fait l’effet du vin, et qui perdent la mémoire quand ils sont rassasiés de jours ! ». Elle deviendra Reine de Hanovre et décédera en 1841.
C’est à Berlin, en 1821, que le Livre 4 des Mémoires d’outre-tombe est écrit, comme le mentionne l’auteur.
La vie politique est bien sûr très présente, Chateaubriand est nommé à l’ambassade de Londres, « Charlotte revint à ma pensée ; ma jeunesse, mon émigration, m’apparurent avec leurs peines et leurs joies… » (Livre 10 des Mémoires d’outre-tombe)
L’ambassade de Londres fait l’objet du Livre 27.
Livre 27 : Ambassade de Londres.
Nous sommes en 1822, Chateaubriand évoque la vie politique et sociale, les dandys, ce qui n’est pas sans rappeler Le Traité sur la vie élégante de Balzac.
C’est un très joli livre dans lequel l’auteur, avec son style et sa démarche littéraire, tisse le temps en tissant son œuvre :
« C’est à Londres, en 1822, que j’ai écrit de suite la plus longue partie de ces Mémoires. Là se trouve la peinture de la vieille Angleterre… »
c’est-à-dire les Livres 6 à 12 de la Première Partie de Mémoires d’outre-tombe.
« Le prologue du Livre 6ème vous a parlé de mon émotion, des sentiments que me rappela la vue de ces lieux chers à ma mémoire. »
Les lieux, comme Westminster, mais aussi les poètes,Thomas Gray qui lui avait inspiré un poème, Les Tombeaux champêtres, les « mœurs » politiques, avec Pitt, Burke, et, bien sûr, Charlotte, Charlotte Ives, si tendrement présentée dans le Livre 10, que nous retrouvons ici.
Puis, écrit notre auteur, « je m’embarquais à Douvres le 8 de septembre 1822, dans le même port d’où, vingt-deux ans auparavant, Monsieur « Lassagne », le Neuchâtelois, avait fait voile ».
Livre 28 : Ce Livre 28 évoque les années 1824, 1825, 1826 et 1827. Avec :
– la délivrance du roi d’Espagne,
– la destitution de Chateaubriand (« L’idée que j’avais du gouvernement représentatif me conduisit à entrer dans l’opposition », écrit-il.),
– la vie politique,
– un séjour de l’auteur à Neuchâtel,
– la mort de Louis XVIII et le sacre de Charles X ; l’auteur écrit une brochure, Le Roi est mort, vive le Roi,
– un séjour à Lausanne,
– la loi sur la police de la presse, dite « loi de justice et d’amour », ce qui amènera l’auteur à rédiger Du rétablissement de la censure par l’ordonnance du 24 Juin 1827,
– l’ambassade de Rome, qui est proposée à Chateaubriand.
Livres 29 et 30 : Ces deux Livres 29 et 30 sont présentés ensemble, dans cet audiolivre consacré à l’Ambassade de Rome.
Du 14 septembre au 9 octobre 1828, Chateaubriand quittant Paris rejoint Rome.
Il nous présente :
– la société romaine,
– les fouilles archéologiques à Torre Vergata, lancées le 3 février 1829,
– les lieux et la campagne romaine,
– son « Mémoire » sur l’Orient.
Il évoque le décès du pape Léon XII, le 10 février 1829, puis le conclave. Et courriers, dépêches et lettres à madame Récamier sont proposés à notre lecture : « Ici paraîtront distinctement les deux hommes qui existent en moi. »
Le 16 mai 1829, une lettre adressée à Juliette Récamier se termine ainsi : « j’ai fait déjà plusieurs lieues vers vous ». Du 16 au 28 mai 1829, il rejoint Paris.
Car madame Récamier est fort présente dans ces pages ; d’ailleurs, Chateaubriand lui a consacré tout un Livre intitulé Sur Madame Récamier, figurant ici dans le Supplément des Mémoires d’outre-tombe de l’édition que nous utilisons.
Puis, avec le Livre 31, ce sera le retour de Chateaubriand à Paris.
« Je vais bientôt quitter Rome, et j’espère y revenir. Je l’aime de nouveau passionnément, cette Rome si triste et si belle. […] On n’a point vu Rome quand on n’a point parcouru les rues de ses faubourgs mêlés d’espaces vides, de jardins pleins de ruines, d’enclos plantés d’arbres et de vignes, de cloîtres où s’élèvent des palmiers et des cyprès,les uns ressemblant à des femmes de l’Orient, les autres à des religieuses en deuil. […] Dans un des plus beaux sites de la terre, parmi les orangers et les chênes vers, Rome entière sous mes yeux, chaque matin. »
Livre 31 : Dans ce Livre 31, Chateaubriand évoque son retour à Paris, fin mai 1829 ; puis pensant retourner à Rome, il descend vers les Pyrénées, séjourne à Cauterets, mais la vie politique le ramène à Paris : « à Lourdes, au lieu de tourner au midi et de rouler vers l’Italie, je pris le chemin de Pau, mes yeux se remplirent de larmes ».
Il retrouve son épouse, Céleste, à Paris. Celle-ci avait fondé, en 1819, une institution pour les prêtres âgés et les nobles devenues veuves suite à la Révolution : l’Infirmerie Marie-Thérèse, où elle sera enterrée en 1847.
Chateaubriand à cette époque de mai 1829 prépare un legs pour que cette propriété soit plus tard destinée à quelques artistes et gens de lettres malades.
La vie politique en France est traitée dans ce Livre 31 jusqu’aux Ordonnances Polignac de juillet 1830. Chateaubriand revient alors de Dieppe, où il avait vu madame Récamier.
La 1ère Ordonnance établit la suppression de la liberté de la presse, « la presse […] c’est la parole à l’état de foudre ; c’est l’électricité sociale. Pouvez-vous faire qu’elle n’existe pas ? » écrit-il.
Et lire sa brochure si passionnante Du rétablissement de la censure… sur notre site, car la liberté de la presse est toujours abordée par Chateaubriand avec passion et vivacité.
Le livre suivant, le Livre 32, est consacré aux journées historiques de la Révolution de Juillet.
Livre 32 : Ce Livre 32 est intitulé Révolution de Juillet.
L’auteur commence par la journée du 26 juillet 1830, les Ordonnances datées du 25 sont insérées dans Le Moniteur.
Puis il évoque les 27, 28 :
« Ceux qui jadis avaient recouvert les aigles napoléoniennes peintes à l’huile de lis bourboniens détrempés à la colle n’eurent besoin que d’une éponge pour nettoyer leur loyauté : avec un peu d’eau on efface aujourd’hui la reconnaissance et les empires. »
et 29 juillet sur le plan militaire et civil, et ensuite les 30 et 31 juillet 1830 ; toute la vie politique est traitée avec grand soin.
« M. le duc d’Orléans avait eu, sa vie durant, pour le trône ce penchant que toute âme bien née sent pour le pouvoir. Ce penchant se modifie selon les caractères : impétueux et aspirant, mou et rampant ; imprudent, ouvert, déclaré dans ceux-ci, circonspect, caché, honteux et bas dans ceux-là : l’un, pour s’élever, peut atteindre à tous les crimes ; l’autre, pour monter, peut descendre à toutes les bassesses. M. le duc d’Orléans appartenait à cette dernière classe d’ambitieux. Suivez ce prince dans sa vie, il ne dit et ne fait jamais rien de complet, et laisse toujours une porte ouverte à l’évasion.
Pendant la Restauration, il flatte la cour et encourage l’opinion libérale. »
Le règne de Charles X s’achève, celui du Duc d’Orléans, nommé Lieutenant Général du Royaume, va commencer, comme « Roi des Français », ce qui sera traité par Chateaubriand dans le livre suivant, le Livre 33.
Livre 33 : « La monarchie européenne aurait pu continuer sa vie si l’on eût conservé en France la monarchie mère, fille d’un saint et d’un grand homme mais on en a dispersé les semences fécondes : rien ne renaîtra. »
Ainsi se terminait le livre précédent (32), et voici comment débute ce Livre 33 :
« Vous venez de voir la royauté de la Grève s’avancer poudreuse et haletante sous le drapeau tricolore au milieu de ses insolents amis ; voyez maintenant la royauté de Reims se retirer à pas mesurés au milieu de ses aumôniers et de ses gardes, marchant dans toute l’exactitude de l’étiquette, n’entendant pas un mot qui ne fût un mot de respect, et révérée même de ceux qui la détestaient. Le soldat, qui l’estimait peu, se faisait tuer pour elle ; le drapeau blanc, placé sur son cercueil avant d’être reployé pour jamais, disait au vent : Saluez-moi : j’étais à Ivry ; j’ai vu mourir Turenne ; les Anglais me connurent à Fontenoy ; j’ai fait triompher la liberté sous Washington, j’ai délivré la Grèce et je flotte encore sur les murailles d’Alger ! »
Ce très profond Livre 33 évoque les premiers jours d’août 1830, époque de grande importance historique et politique.
Le 7 août est un jour d’une extrême importance dans la vie de Chateaubriand :
« Chapitre 7 : Journée du 7 août. – Séance à la Chambre des pairs. – Mon discours. – Je sors du palais du Luxembourg pour n’y plus rentrer. – Mes démissions.
Le 7 d’août est un jour mémorable pour moi ; c’est celui où j’ai eu le bonheur de terminer ma carrière politique comme je l’avais commencée ; bonheur assez rare aujourd’hui pour qu’on puisse s’en réjouir.
[…]
Je montai à la tribune. Un silence profond se fit ; les visages parurent embarrassés, chaque pair se tourna de côté sur son fauteuil, et regarda la terre. Hormis quelques pairs résolus à se retirer comme moi, personne n’osa lever les yeux à la hauteur de la tribune. Je conserve mon discours parce qu’il résume ma vie, et que c’est mon premier titre à l’estime de l’avenir. »
Ce Livre 33 clôt la carrière politique de Chateaubriand, commencée avec le Livre 19, Chateaubriand que nous retrouverons en octobre 1830, avec le Livre 34.
Accéder au texte du chapitre 7 du Livre 28, manquant dans le PDF de l’œuvre intégrale.
Anne-Louis Girodet-Trioson, Portrait de Chateaubriand méditant sur les ruines de Rome (après 1808).
Livre 19 : Ludwig van Beethoven, Symphonie Héroïque, Op. 55, I. Allegro con brio, interprétée par l’Orchestre Philharmonia, dirigé par Herbert von Karajan (1952, domaine public).
Livre 20 : Johann Sebastian Bach, Concerto No. 1 pour violon et orchestre en la mineur BWV 1401 – II. Andante, interprété par L. Kogan et K. Kondrashin (chef d’orchestre) (1962, domaine public).
Livre 21 : Anton Dvorak, Concerto pour violon en la mineur Op. 53, II. Adagio ma non troppo, interprété par J. Marty et l’Orchestre symphonique Radio Berlin, dirigé par P. Kletzki (1951, domaine public).
Livre 22 : Ludwig van Beethoven, Quatuor serioso en fa mineur – IV larghetto, Op095-04a, interprété par le Quatuor Amadeus (1960, domaine public).
Livre 23 : Ludwig van Beethoven, Quatuor No. 13 – I, Op. 130, interprété par l’ensemble Hollywood String Quartet (1957, domaine public).
Livre 24 : Max Bruch, Concerto pour violon nº1 en Sol mineur, Op. 26, interprété par J. Heifetz et l’ensemble Symphonia Orchestra London, dirigé par M. Sargent (1962, domaine public).
Livre 25 : Johann Sebastian Bach, Concerto No. 5 pour clavier et orchestre BWV1056-01, interprété par G. Gould et l’Orchestre Symphonique Columbia, dirigé par V. Golschmann (1957, domaine public).
Livre 26 : Christoph Willibald Gluck, Iphigénie en Aulide, WOO014, Ouverture, interprété par l’Orchestre Philharmonia, dirigé par P. Kletzki (1958, domaine public).
Livre 27 : Carl Philipp Emanuel Bach, Symphonie en ré, H.663, interprétée par l’ensemble European Archive (domaine public).
Frédéric Chopin, Fugue in A minor, B. 144, interprétée par Aya Higuchi (domaine public).
Livre 28 : Franz Joseph Haydn, Symphonie n°13 en ré, Hob: I:13, II. Adagio cantabile (European Archive, domaine public).
Livres 29 et 30 : Nicolo Paganini, Concerto 2, Op. 7, I, Allegro maestoso, interprété par Yehudi Menuhin et l’Orchestre Royal Philharmonique, dirigé par Alberto Erede (1960, domaine public).
Nicolo Paganini, Sonate 12 pour Violon et Piano, Op. 3 , VI, interprétée par Arthur Grumiaux et Stvan Hajdu (1960, domaine public).
Livre 31 : Muzio Clementi, Sonate pour piano Op 26-02 en Fa mineur, interprétée par Vladimir Horowitz (1954, domaine public).
Livre 32 : Ludwig van Beethoven, Quatuor nº15 en La mineur, Op.132, Mouvement I, interprété par l’ensemble Hollywood String Quartet (1957, domaine public).
Livre 33 : Ludwig van Beethoven, Quatuor nº14 en Do dièse mineur, Op.131, Mouvement IV, interprété par l’ensemble Hollywood String Quartet (1957, domaine public).
VIte, je télécharge! Vous avez fait une nouvelle convertie, Christiane-Jehanne.
Amitiés
CM
Cher Pierre Durero,
Je vous remercie beaucoup de cet aimable et sympathique
commentaire.
Le Livre 23 arrive très prochainement.
Ces “Mémoires” sont pour moi un vrai plaisir , le texte est magnifique, et , si cela vous convient, cela me touche vraiment beaucoup et m’encourage bien.
Merci !
Et je vous souhaite une belle journee.
Amities.
Christiane-Jehanne.
Mille mercis à vous tous pour cet immense et admirable travail.Comme un ingrat, j’attends avec impatience la suite.
Fraternelles salutations à vous tous.
Bonjour, cher Gauthier T.,
Merci à vous , votre gentillesse me soutient vraiment beaucoup.
Bien cordialement et très belle fin de journée à vous !
Christiane-Jehanne.
Bonjour
Merci !
Vous allez me permettre de découvrir cette grande oeuvre qui m’attire depuis longtemps.
bien cordialement
GauthierT
Chére Monique, bonjour,
je vous remercie vraiment beaucoup de votre si gentil message, je suis très sensible à votre
délicatesse et à votre si aimable soutien.
Je suis bien contente que cela vous convienne, et,vous avez
raison de dire que l’œuvre de notre auteur est une mine
d’informations.
Encore , merci à vous !
Bien amicalement.
Christiane-Jehanne.
Merci beaucoup pour cette belle lecture, on y apprend plein de choses.
On est toujours impatient d’avoir la suite!
Encore merci pour tout ce beau travail.
Cher Sans-Dents, bonsoir et merci beaucoup de ce tres
gentil encouragement.
La Partie 4) sera bientot prête, car associée de près à ce
Livre 22) des M.O.T., puis tout le livre de Madame de Staël .
Merci !
Belle soirée .
Bien cordialement .
Christiane-Jehanne.
Chouette idée, merci.
Sans dents, mais avec des oneilles.
Chere Claire-Marie,bonjour et je vous remercie, vraiment, beaucoup , de votre tres gentil message.
Très belle journee à vous !
Toutes mes amities.
Christiane -Jehanne.