Un joli Conte simple, bien dans la manière de l’auteur…
« Car ce n’était pas un saint homme que le capitaine. Son ancienne feuille de punitions était noire de jours de salle de police infligés pour actes d’indiscipline, absences aux appels et tapages nocturnes dans les chambrées… Il avait eu Lamoricière pour commandant ; le duc de Nemours, près duquel il reçut sa première blessure, l’avait décoré, et, quand il était sergent-major, le père Bugeaud l’appelait par son nom et lui tirait les oreilles. […] »
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Louis-Victor Baillot dans les années 1890 à Carisey. Il porte sa Légion d’honneur ainsi que sa médaille de Sainte-Hélène.
merci c’est merveilleux, continuez à nous surprendre,bon courage.
Merci Monsieur Depasse, connaissez-vous les livres part coeur ? vous avez tellement le ton juste !
Quel plaisir de vous écouter lire à François Coppée! Merci M. Depasse.
Toujours aussi plaisant de vous écouteR ! René Depasse! . Merci pour TOUTES ces lectures. F Coppé c’est le souvenir de certaines dictées à l’école du village.
Un délice ! Cette histoire se savoure comme un dessert attendu avec impatience.
Vous avez vraiment un don pour donner le ton aux nouvelles que vous lisez.
Continuez longtemps, Monsieur Depasse, c’est toujours un immense plaisir que de vous écouter.
Bien cordialement,
Sylvie.