En mai 1847, Gustave Flaubert et son ami Maxime Du Camp, âgés de 25 ans, entreprennent un voyage qui les conduira des Châteaux de la Loire à la Bretagne. Ils décident de coucher sur le papier leurs impressions de route, Du Camp se chargeant des chapitres pairs, Flaubert des chapitres impairs. De cette collaboration naîtra le livre Par les champs et par les grèves, publié en 1885, cinq ans après la mort de Flaubert. Un seul épisode paraîtra de son vivant : Des pierres de Carnac et de l’archéologie celtique, dans un numéro de 1858 de la revue L’Artiste, sous une forme légèrement abrégée. On retrouve dans ces pages toute la perfidie et l’ironie flaubertienne, et l’une des cibles préférées de l’auteur : la cuistrerie.
Kevin MacLeod, Marty Gots a plan (licence Cc-By-3.0).
N’en doutez pas
Merci à vous, Isabelle. J’espère que vous continuerez à trouver votre bonheur parmi mes lectures. 🙂
J’apprécie décidément vos choix de lecture. J’ai beaucoup ris, l’esprit humain…une citation de l’Ecclésiaste m’est venue ” celui qui augmente sa science augmente sa douleur.” Merci Cyprien
Merci beaucoup 🙂
J’ai adoré le final de la lecture! “Les pierres de Carnac sont de grosses pierres” 🙂
Alessandra
Merci cyprien pour ce carnag(e) celtomanique