Si l’on excepte la violente diatribe partisane contre Zola et les Naturalistes, qui frise ici le ridicule, on trouvera dans cette conférence, prononcée à Courbevoie le 7 novembre 1880 au profit de la bibliothèque populaire, de merveilleux et admirables éloges, pleins d’allant, de lyrisme, de flamme et de grâce, à la gloire de Victor Hugo, de la recherche de l’Idéal, des vertus humaines, du respect, de la lecture (et notamment de la lecture publique), de l’amitié (et notamment de l’amitié par le livre), de la République et de la Paix.
« Victor Hugo fait-il un rêve impossible ? Faisons-le avec lui, Messieurs ; car on gagne toujours quelque chose à souhaiter l’irréalisable, et, quand nous bornons trop nos désirs de justice et d’amour, nous les tuons. »
Remerciements aux bénévoles de la Bibliothèque Municipale de Lisieux (Calvados), en particulier ici à S. Pestel et A. Guézou, pour leur précieuse contribution au partage gratuit du savoir.
Claude Joseph Rouget de Lisle, La Marseillaise, interprétée par l’ensemble United States Navy Band (domaine public).
Le poème de Victor Hugo, L’Âne, objet de ce discours, figure sur notre site, lu par Vincent PLANCHON :
https://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/hugo-victor-l-ane.html
FERRAGUS est le pseudonyme de Louis ULBACH (Troyes 1822 – Paris 1889), romancier, journaliste et dramaturge français, ennemi du Naturalisme. A Courbevoie (92), où cette conférence a été prononcée, une rue porte son nom.