Polzounkov raconte une histoire qu’il a eue il y a six ans avec un certain Fièdossiéï Nikolaïtch, son chef hiérarchique dans une administration de province. Celui-ci lui achète mille cinq cents roubles-argent des documents compromettants, et il semblerait que Polzounkov ait exercé un chantage à l’encontre de son supérieur. Mais lequel sera le dindon de la farce ?
Le narrateur fait, avec tendresse, une description d’Ossip Mikhaïlytch Polzounkov qu’il considère comme un bouffon, un bouffon digne, inquiet, qui a bon cœur et qui ne cesse d’emprunter de l’argent à tous.
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Franz Schubert, Piano Sonata no. 21 in B-flat major, D. 960 – III. Scherzo (Allegro vivace con delicatezza), interprété par Paul Pitman (domaine public).
Et c’est toujours un plaisir de vous lire, Fabien!
Une lecture sans pépins.
Merci Pomme, c’est toujours un plaisir que de vous écouter.
Ravie que cette version 2 plaise! Merci à vous, Patrice, pour votre gentil compliment.
Merci pour cette version, belle lecture!
Je vous en prie, Véronique. C’est moi qui vous remercie pour ce (trop) gros compliment.
Tout est parfait! Encore une belle lecture! Merci chère Pomme.
Je souhaitais une peinture russe d’une tête d’homme un peu tourmenté, et cet auto portrait me semble bien convenir. Je comprends mal votre surprise, Svetlana.
Merci pour la lecture, mais pourquoi avoir choisi pour illustrer un autoportait du grand peintre Alexej von Jawlensky ?