La Paresse est le cinquième des Sept Péchés capitaux, parus entre 1847 et 1853.
Le début : « Un peintre voudrait-il représenter dans sa plus charmante expression la paresseuse douceur du farniente ? Nous allons tenter de lui offrir un modèle.
Florence de Luceval, mariée depuis six mois, n’a pas encore dix-sept ans ; elle est blanche et rose, avec de beaux cheveux blonds. Quoique d’une taille svelte et élancée, la jeune femme est un peu grasse ; mais ce léger embonpoint est si merveilleusement réparti, qu’il devient un nouvel attrait. La pose de Florence, enveloppée d’un peignoir de mousseline blanche, est pleine de nonchalance et d’abandon ; à demi étendue dans un moelleux fauteuil à dossier renversé, où repose indolemment sa tête charmante, elle allonge et croise ses petits pieds , chaussés de mignonnes pantoufles, sur un épais coussin, tandis que, du bout de ses doigts effilés, elle effeuille une rose sur ses genoux. »
Bébé paresseux se reposant en haut d’un arbre.
Je crois, Joel, que vous venez de montrer dans vos mots que vous savez très bien me remercier ! A bientôt !
je ne sais comment vous remercier, j’aime tant votre lecture, votre diction si rare car claire et audible, merci vraiment et sincé
remment
Envie de citer Saint François de Sales, chère Hirondelle : “En fait d’imperfections, nous sommes des aigles pour voir celles d’autrui, et des taupes pour voir les nôtres”.
Intéressant, le mari qui, passant ses journées chez sa maîtresse au su de tous, menace sa femme de prison pour infidélité…
Je vous en prie, Lyse et EclatDuSoleil !
Merci encore ! Je l’ai emporté en vacances : la paresse n’est-elle pas toute indiquée pendant les vacances ? Cet opus est particulièrement délicieux par sa malice…
Lecture tout indiquée pour la canicule !
Merci à vous ! 🙂
Merci du signalement, Fabien, le zip est en voie de rectification. Je rappelle à tout hasard que les chapitres 1 et 2 sont disponibles individuellement sur la page du billet.
Bonjour Mr. Luttringer.
Je vous remercie pour vos nombreuses lectures que j’apprécie à chaque fois, sachez-le.
Pour information, je vous signale qu’il manque, ici, les chapitres 1 et 2.