La veillée funèbre de l’oncle Albert continue dans ces deux chapitres de Un mort tout neuf ; il est préférable que dans son cercueil, le mort n’entende pas tout qui se passe comme vous le verrez… et l’enterrement n’a pas encore eu lieu. Encore quelques séquences vous attendent…
Du naturalisme à l’état pur dans ce roman d’Eugène Dabit, titulaire du prix du Roman populiste en 1931.
Un exemple des propos tenus :
« Il avait bien d’autres préjugés, murmure Lucienne. Tiens, celui-là, qui a toujours pesé dans sa vie: que nous soyons enfants naturels. Nous, que veux-tu, on a eu des parents négligents, qui ne croyaient pas mourir si jeunes, et coup sur coup, et nous sommes restés avec le nom de la mère. Moi, ça ne m’a jamais gênée.
– Albert, si. »
Eugène Dabit en 1935.
Où est la suite M. Depasse?